L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
"Je hais mon dormeur qui peut se créer, avec de l'inconscience, une paix qui m'est étrangère. Je hais son front de miel. Il a un visage d'ange mais si je le secoue c'est une bête écartée d'un os." Lire l'oeuvre de Violette Leduc, participe toujours de l'expérience : expérimentation des mots, de leur sens, de leur contre-sens, de l'obsession de l'écriture, de la face charnelle du texte. Ce récit court et touffu, publié en 1948 et jamais réédité depuis, nous emporte dans la nuit insomniaque d'une femme que l'on imagine entre la réalité, l'homme assoupi à ses côtés et le fantasme, les méandres des souvenirs obsessionnels de l'écrivain.
Béatrice Cussol s'est emparée de ce texte pour en imager les sinuosités. C'est avec une évidente connivence qu'elle nous livre sa vision sans concession du texte et le puzzle se reconstruit au fil des pages en une image entière où l'oeil s'égare sans jamais trouver le repos, comme dans les nuits de Violette Leduc.
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