L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Paru pour la première fois en 1931 sous le titre virgo fidelis, ce commentaire contemplatif du livre biblique du cantique des cantiques est considéré comme le chef d'oeuvre de robert de langeac.
Dans son prologue, l'auteur nous dévoile l'intention qui a guidé son écriture: que ne donnerait-on pas, ô mon dieu, pour ouvrir sur vous les yeux d'une seule âme et pour obtenir qu'ils ne se ferment plus jamais? exciter le feu du profond amour dans un seul coeur, ô mon dieu, quel honneur et quelle joie! faire qu'il y ait sur la terre une lampe de plus qui brûle nuit et jour, non pas au loin, mais tout près de vous, b jésus, ô trinité, et comme pour vous tout seul, quel bonheur! c'est toute l'ambition de ces pauvres lignes écrites, vous le savez, ô mon dieu, avec tant de peine, mais aussi avec tant de reconnaissance anticipée.
Oui, ô mon dieu, j'espère que quelque âme de bonne volonté s'éclairera à cette petite lumière, s'illuminera à ce petit rayon, s'échauffera à ce foyer oú il me semble qu'un peu d'amour profond brûle pour vous.
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