Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Comment peut-on encore aimer l'Eglise ? Comment se laisser séduire par une vieille institution portant son passé avec ses lumières et ses ombres, ses saints et sa hiérarchie pesante ? Répondre par l'affirmative à cette question est une provocation.
C'est le choix assumé tranquillement par Gabriel Marc dans cet ouvrage autobiographique.
Aimer l'Eglise ? Encore faut-il s'entendre sur le sens de ce terme. Pour ce laïc, témoin du concile Vatican II à vingt-cinq ans, responsable d'un mouvement chrétien puis président du CCFD, la plus grande ONG française d'aide au développement, l'Eglise est d'abord et avant tout la " fraternité universelle des baptisés croyants ".
C'est l'expérience de cette fraternité planétaire que raconte ici ce fils d'ajusteur devenu haut fonctionnaire à l'INSEE.
Pour Gabriel Marc, les sociétés menacées d'homogénéisation culturelle, en proie au culte de l'argent, auront besoin d'introduire en leur sein de l'humain fraternel pour corriger ces dérives et goûter au bonheur vrai. Tel est sans doute le service que peut rendre le christianisme à l'humanité.
Pour accomplir cette tâche, il faut servir l'Eglise. Tâche passionnante, exigeante. A l'échelle de l'histoire, le message de l'Evangile et ses deux mille ans, n'est encore qu'un vagissement de nourrisson. Ce qui paraît utopique, inaccessible aujourd'hui existera dans dix, vingt, cent mille ans, Dieu nous l'a promis. C'est en son nom qu'il faut aimer l'Eglise.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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