"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Alerté par un appel anonyme, le lieutenant Rozenn se rend dans un appartement de l'avenue Janvier à Rennes.
Il y trouve une femme recroquevillée sur un canapé. Son visage est constellé de brûlures, trop récentes pour avoir pu cicatriser. Sur la table du salon, des somnifères et une bouteille de bourbon entamée. Manifestement, Clara Torrès s'est suicidée aux barbituriques. Son geste est-il lié aux sévices qu'elle a subis ? Qui les lui a infligés et pourquoi ? Hanté par le visage ravagé de cette jeune femme, Rozenn va tout mettre en oeuvre pour identifier le ou les coupables.
Mais pour cela, le policier aura besoin d'un électron libre : Augusto Rinetti, un de ses anciens indics en pleine dérive personnelle. Rinetti va suivre la piste jusqu'à Belfast. Une ville dangereuse, divisée en ghettos irréductibles, une ville pluvieuse et dévastée, où vont se jouer des destins irrémédiablement liés par un enchaînement de circonstances tragiques. Gianni Pirozzi avait fait une entrée remarquée dans le monde du roman noir avec Romicide, récompensé par le prix du premier polar SNCF.
A la fois traque policière, carnet de voyage et étude de milieu, Hôtel Europa confirme le talent de l'auteur pour dépeindre des atmosphères et faire vivre des personnages dont le drame individuel rejoint les tragédies de l'histoire.
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