Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Bacon passait pour être, parmi les peintres vivants, l'un des plus chers au monde.
Y a-t-il là seulement un effet de commerce ou de mode ? Cette pauvreté foncière de l'être humain que ses toiles nous font toucher à même la peau n'a pas de prix. Le rachat d'une telle misère est à la limite impossible. L'horreur dans la beauté, la magnificence dans la douleur cette fascination ambiguë prend là sa source. L'être humain y est peint désespécé, en perdition de son appartenance à l'espèce humaine.
Michèle Monjauze, familière de la psychothérapie des grands buveurs (La Problématique alcoolique, In press), étudie à travers Bacon les paradoxes propres à l'alcoolique créateur. Didier Anzieu, psychanalyste, auteur du Corps de l'oeuvre, du Moi-peau, de Beckett, voit dans la peinture de Bacon un renouveau de la pensée empiriste anglaise, dont il montre la parenté avec l'oeuvre romanesque de Beckett et l'oeuvre théorique du psychanalyste Bion.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Yeong-ju est l’heureuse propriétaire d’une nouvelle librairie, située dans un quartier résidentiel de Séoul...
Un moment privilégié avec l’auteur de la bande dessinée "Azur Asphalte" : attention, places limitées !
Un premier roman époustouflant de maîtrise et d'originalité