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Activité séculaire qui allie force de l'animal et maîtrise technique de l'homme, le débardage au cheval fut pendant longtemps le moyen le plus utilisé pour extraire les bois des massifs forestiers. Mis à mal, comme d'autres secteurs de la traction animale, par la motorisation, on le croyait définitivement disparu. Mais à l'heure du développement durable, cette activité retrouve une seconde vie, en particulier sur les zones sensibles où la protection des sols et de la biodiversité requiert une méthode de travail plus respectueuse des écosystèmes.
Des rivières du Jura aux landes bretonnes, des profonds massifs vosgiens aux jeunes forêts d'Oléron, et jusqu'aux portes des cités, Jean-Léo Dugast a suivi ces acteurs discrets des milieux boisés qui en toutes saisons débusquent et débardent au rythme mesuré du pas des chevaux.
Pendant quatre années, les débardeurs au cheval ont été au centre de toutes les attentions de Jean-Léo Dugast.
Le photojournaliste de Mamers dans la Sarthe, observateur de longue date des chevaux percherons, se consacre désormais à toutes les races de chevaux de trait.
Après le débardage, il s'intéresse tout particulièrement aux nouvelles formes d'agriculture qui font appel à la traction animale.
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