Faut-il repenser le profit de la "boîte noire" pour sauver le monde ?

• Date de parution : 21/09/2007
• Editeur : Edilivre
• EAN : 9782356070289
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : (-)
• Collection : CLASSIQUE
• Genre : Economie
• Thème : Economie
• Prix littéraire(s) : (-)

Croulant sous ses crises traditionnelles telles que dictature ou pauvreté de masse, le Sud découvre la crise écologique qui met de l'huile sur le feu au moment où la mondialisation lui cause un grand tort. Si les crises traditionnelles sont un phénomène sudiste, la crise écologique est une crise... Voir plus

Croulant sous ses crises traditionnelles telles que dictature ou pauvreté de masse, le Sud découvre la crise écologique qui met de l'huile sur le feu au moment où la mondialisation lui cause un grand tort. Si les crises traditionnelles sont un phénomène sudiste, la crise écologique est une crise de l'humanité menaçant autant le Sud que le Nord. Elle naît d'un profit aux enjeux énormes, et dont la responsabilité dans les malheurs du monde est grande. L'architecture du vieil profit abîme la planète alors que le profit n'est pas totalement réinvesti dans les économies. Dans ce monde à deux vitesses, les nations impuissantes peinent à prendre leur envol tandis que les puissances semblent en quête de recettes pour relancer leur économie en perte de vitesse. En ce sens, la théorie du profit moyen est une solution moderne visant à redynamiser les économies du Nord, et pousser le Sud à créer plus de richesse, et ce, dans des conditions écologiques et salariales optimales. Elle responsabilise l'entreprise sur les problèmes qu'engendre le réchauffement climatique, tout en lui permettant de mieux rémunérer salariés et investisseurs en amont du résultat net respectivement par un salaire juste et un confort. Ici le profit moyen est réinvesti tandis que les craintes des investisseurs sont levées.