Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Le haiku n'exprime aucune pensée, aucun sentiment.
Il n'interprète pas, il révèle. La valeur poétique du haïku se tient autant dans ce qu'il dit que dans ce qu'il tait. Il appréhende la forêt autant par les arbres qui la composent que par les lacis des espaces entre eux. Ne taisant rien de ce qu'il dit, ne cachant rien de ce qu'il montre, le haïku laisse néanmoins au lecteur le soin de percevoir ce qui ne peut être montré, de lire ce qui ne peut être écrit.
Dans ce recueil, calligraphie et poésie, toutes deux originaires de la culture japonaise, se rejoignent pour exprimer l'interpénétration de nos sens dans notre participation au Tout. Ainsi, la calligraphie n'est pas illustration, mais parole picturale dialoguant avec la parole poétique.
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