L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
En Jésus-Christ, Dieu est mort. Il n'en est pas moins Dieu. Bien au contraire cette solidarité divine avec la finitude humaine est la plus haute théologie que porte le christianisme et dont la seule et unique mission consiste à élucider à toute l'humanité. La question ici est alors de savoir si l'évènement de Dieu en Jésus-Christ a une portée pour l'africain plus précisément le béninois. La réponse étant positive, n'aurait-il de sens que pour les seuls chrétiens catholiques ou pour toute existence humaine y compris ceux qui n'y adhèrent pas ? Dans ce cas comment faut-il définir la foi en Dieu et quel serait l'enjeu de la Révélation de Dieu en Jésus-Christ ? En s'inspirant de la théologie de la Réconciliation de Barthélemy Adoukonou, théologien béninois et de la phénoménologie de la donation de Jean-Luc Marion, nous supposons une « reprise herméneutique » du christianisme en Afrique. Celle-ci doit avoir pour moment privilégié le dialogue « Foi et culture ». Ce dialogue de la foi doit être un dialogue théologique.
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