L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« C'est moi et ce n'est pas moi», telle est la double contradiction maintes fois exprimée par certains criminels lors d'entretiens thérapeutiques menés par Odile Verschoot en milieu carcéral, et qui résume le mécanisme de déni. Un pédophile, un meurtrier, un violeur., reviennent librement sur leur vie, les raisons de leur incarcération, leur condamnation et, grâce à la délicate instauration de la confiance établie par le dialogue, tenter d'en dégager le sens.
Au cours d'un lent cheminement s'accomplit alors tout un travail pour se reconnaître, reconnaître l'autre en victime et accepter la peine. Défense inconsciente, produit d'une histoire psychique, le déni - qui n'est ni mauvaise foi, ni refoulement, ni esquive pour échapper aux sanctions judiciaires - protège, de fait, l'inculpé d'une réalité perçue comme dangereuse et destructrice, pour lui-même et pour les autres.
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