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Dans les années 70, les stands de F1 sont encore à ciel ouvert, faciles d'accès, libres d'ordinateurs. On s'y meut en toute simplicité, chacun respectant le travail de l'autre. Ce que fait Solange Podell quai Albert Ier. Elle « shoot » en toute discrétion, sans déranger, les pilotes dans leurs moments d'intimité. Au repos entre deux coups de volant.
L'illustre photographe Richard Avedon trouvait à Solange un sens inné du cadrage. D'un Jean-Pierre Jabouille mécontent à un James Hunt goguenard ; d'un « Lole » Reutemann au sourire carnassier à un François Cevert pensif, les portraits de Solange Podell rendent humain ces pilotes qui chaque dimanche remettaient leur vie en jeu.
Par passion.
Dali disait de Solange Podell qu'au delà des noirs et des gris de ses tirages, elle ressuscitait l'âme. Celle de tous ces pilotes qu'elle a saisis - avec tant de respect - derrière son objectif.
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