L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Dominique Strauss-Kahn, perdu dans sa libido, chasseur de femmes, d'une sexualité compulsive, capable d'employer beaucoup d'argent pour se défendre (si besoin en salissant la réputation de cette femme de chambre) est devenu, depuis le 14 mai 2011, un symptôme.
Symptôme des enfants perdus de la révolution sexuelle. Symptôme d'une gauche incapable de se réconcilier avec sa morale. Symptôme d'un système médiatique devenu fou, hypnotisé par l'actualité.
Symptôme d'une connivence étonnante entre la « classe médiatique » et la « classe politique ». Ces deux classes-là, main dans la main, ont voulu nous convaincre, pendant dix jours, d'une « sidération » vis-à-vis de cet événement.
L'auteur sans reprendre les arguments des uns et des autres, essaie de faire une lecture culturelle de cet événement, centrée, en particulier, sur Mai 1968 et sa libération du désir. DSK est un enfant perdu de Mai 1968, incapable d'aller jusqu'au bout de son refus de l'hypocrisie et incapable, en même temps, de renoncer à son coté « libertin ». Dès lors, l'auteur se demande :
De quoi est-il le nom ?
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