"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
[Depuis] vingt ans, trente ans, quarante ans, Dado nous obsède avec son déballage de petits monstres hybrides, violents, effrénés et pathétiques. [...] Les pointus, les griffus, les ongulés et pédonculés, sournois et vindicatifs, toute une faune extrême, frappée du malheur d'exister et lâchée dans le vide de l'espace, cauchemar généralisé, sans feu ni lieu. On a vu des hordes de dégénérés, entre extase et agression proliférer sur les murs, à Sérignan, à Gisors, à Grainville- Ymonville, rescapés de l'horreur et de la terreur et diffusant horreur et terreur. » Les Oiseaux d'Irène appartiennent aussi aux cauchemars. Dessinés à la mémoire d'Irène Némirovsky qui mourut à Auschwitz en 1942, ils ont, écrit Claude Louis- Combet, « la pesanteur accablante de l'inassouvissement, pour toute l'éternité de l'amour détruit. Et là-dessus Dado ajoute : le visage d'Irène était d'une beauté fascinante. Ma mère lui ressemblait étrangement, c'était tout son portrait.
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