Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
« Plus le peintre sera grand et individuel, plus la traduction s'éloignera de l'original. [.] À l'heure qu'il est, il est impossible qu'un poète et un peintre jugent de la même façon. Le peintre peut voir juste à l'endroit du poète, et le poète le reconnaître ; mais le peintre n'admettra jamais que le poète voie juste à l'endroit du peintre. » Malgré ce constat d'incompatibilité de pratiques, Alexandre Dumas, ami des peintres et qui « vivait dans l'art jusqu'au cou » (Ch. Yriarte), est l'un des écrivains du XIXe siècle à s'être penché avec le plus de constance et souvent de perspicacité sur les arts plastiques.
Aussi L'Art et les artistes contemporains au Salon de 1859 méritait-il cette réédition, cent cinquante ans après son apparition. C'est le seul compte rendu du Salon parisien qu'il ait laissé, tout nostalgique de la grande peinture romantique : « Vous vous plaignez avec raison de la tendance des arts. Nous visions en haut autrefois. Heureux qui pouvait y atteindre ! Je crains que la taille des lutteurs d'aujourd'hui ne leur permette pas même d'en avoir la pensée. » lui écrivait Delacroix.
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