Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Créée le 9 avril 2006 en l'église de Segré par le trio vocal Viva Lux, cette pièce fait partie d'un cycle de pièces vocales mettant en musique l'Apocalypse de Saint Jean. Ici, Chapitre XXI. I est contée l'apparition de la Jérusalem Céleste, ventre maternel symbolique, refuge des justes, espoir en la rédemption.Des voix tout d'abord indistinctes se mêlent telle une foule qui dirait « Je vis, je vis un ciel ».J'ai cherché ici à évoquer la puissance inébranlable de la voix de Dieu annoncée. Je n'ai pas souhaité mettre en musique la suite du texte dans laquelle Dieu s'adresse aux Hommes. Seule la vision de Jean m'importait. On y trouve aussi un motif simple sur trois notes irriguant tout ce Motet. C'est la voix simple du peuple, une forme de prière teintée de crainte. Cette pièce peut se chanter à trois chanteuses solistes ou avec un ensemble vocal féminin.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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