Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Prenant appui sur une formule d'Emmanuel Hocquard, on pourrait dire que, dans la lignée de nombreux Modernes (de l'auteur des Petits Poèmes en prose à Beurard-Valdoye, en passant par le Rimbaud d'Une saison en enfer, Faulkner, Koltès ou Prigent)- et cela sans prétendre établir aucun rapport de stricte équivalence -, les fictions de Bernard Desportes ne ressortissent ni à la prose ni à la poésie, elles sont autrement (autopoéfictions). Sont encore autrement ses écritiques, qui, se ressourçant à l'inactuelle critique « partiale, passionnée, politique » que préconisait Baudelaire, détonent pour mieux détonner dans l'actuel PLF (Paysage littéraire français).Aussi convient-il d'appréhender Bernard Desportes autrement. Autrement que par une critique simplement et exclusivement journalistique ou académique. On s'interrogera ici sur la fréquente réduction du modernisme à l'avant-gardisme : pour n'être pas étiqueté « avant-gardiste », doit-on forcément être exclu de toute modernité ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...