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Antoine Blondin a beau nous avoir quittés depuis quatorze ans, la magie de ses flamboyantes chroniques sur le Tour de France demeure intacte.
Entre 1954 et 1982, l'espace de 27 "grandes boucles" et 524 chefs-d'oeuvre, Antoine Blondin a enchanté plusieurs générations de mordus de sport et de littérature, plusieurs millions de lecteurs de "L'Equipe". Un homme qui a lui-même suivi 53 fois l'épreuve a été le témoin des fulgurances et des vagabondages de l'écrivain : Jacques Augendre. Ce grand reporter était aussi son ami. Avec "Un singe en été" étonnant contrepoint du célèbre roman d'Antoine "Un singe en hiver", Augendre raconte d'une plume chatoyante leur fantastique et fantasque compagnonnage estival dans la voiture 101, dans les salles de presse ou dans le courant de soirées interminables et enfiévrées.
Une aventure unique, pleine de saveur et d'affection. L'histoire d'une relation exceptionnelle et la révélation d'un Antoine parfaitement inconnu. Car si des ouvrages ont été consacrés à l'insaisissable Monsieur Jadis, ici, on le découvre enfin tel qu'en lui-même : souvent génial, toujours touchant, parfois désespéré et désespérant. Moyennant quoi, ce "Singe en été" est un double bonheur, la découverte d'Antoine, mais aussi celle de Jacques. Comme si Montaigne et La Boétie faisaient le Tour dans le même équipage.
La préface de Jean-Marie Leblanc, grand patron du Tour de France, est une invitation à ce formidable et émouvant voyage.
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Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
