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De tout temps, le vin a été omniprésent dans l'histoire des hommes. On le croise aussi bien dans les poèmes de l'Antiquité, les premières épopées que dans les textes sacrés, où il est tantôt décrié tantôt exalté. Il peut être synonyme de péché - l'ivresse de Noé - ou de miracle - les noces de Canaa - jusqu'à prendre valeur de sang christique. Les poètes y ont puisé l'inspiration ; ils y ont trouvé l'euphorie ou la consolation. Car le vin provoque aussi bien l'oubli que la mélancolie. Il attise ces deux polarités de la nature humaine que sont le chagrin et l'allégresse. D'Anacréon à Omar Khayyam, de Du Fu à Tristan Corbière, de Horace à Charles Baudelaire, les poètes ont chanté le vin, à la fois muse et compagnon d'infortune. Et ils en ont célébré les effluves capiteux dans l'ivresse des mots.
Réunissant un choix de poèmes parus dans l'emblématique collection bilingue de poche « Orphée », « La Tête d'Orphée » inaugure une série d'anthologies thématiques et illustrées, dont les deux premières sur l'érotisme et le vin. « Orphée » compte, à ce jour, 239 titres d'auteurs de langues du monde entier (Persan, Tchèque, Gaélique, portugais, Malais, Coréen, suédois, espagnol, japonais etc.). C'est parmi l'ensemble de ces ouvrages que Thierry Gilliboeuf a sélectionné des poèmes sur le vin, qui ont été illustrés par Abdellatif Laâbi.
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