"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Sauvage, déjanté, sans pitié. On vous présente Jack Price.
Ceci n'est pas un polar pour votre grand-mère, avec des gentils et des méchants. C'est un bouquin pour adulte. Et honnêtement, je dois dire qu'il est moralement répréhensible. Vous allez l'adorer, et à cause de cela, vous allez vous sentir coupable. Mieux vaudra ne pas le laisser traîner : les gens vous regarderont comme si quelque chose ne tournait pas très rond chez vous. Le mieux, c'est peut-être de le glisser dans un autre livre, avec des fleurs sur la couverture. Comme ça quand vous rirez personne ne se fera une piètre opinion de l'état de votre âme.
Jack Price est à la cocaïne ce qu'Über est au transport. C'est un criminel en col blanc, parfaitement organisé, avec une force de vente décentralisée et un produit de marque. Quand sa voisine du dessous se fait tuer, façon exécution, Jack doit savoir pourquoi. C'est une simple question de business et de sécurité personnelle, mais quelqu'un n'aime pas qu'il la pose. La preuve : les Sept Démons, probablement les sept personnes les pires de la terre, ont été engagées pour le liquider.
Grosse erreur.
Énorme erreur.
Parce que maintenant Jack n'est plus obligé de se contenir. Il n'a plus aucune raison de faire profil bas, aucune raison d'obéir aux règles.
Cette histoire raconte donc ce qui se passe quand un groupe de mercenaires internationaux s'en prend à un type relax et du genre bavard qui est en fait complètement barje.
Je suis Aidan Truhen. Merci
Jack Price mène tranquillement un petit trafic de cocaïne bien rodé. Tout est parfaitement bien organisé et Jack n'est pas le genre d'homme à jouer les Parrains. Mais quand sa vieille voisine du dessous est assassinée, Jack s'inquiète pour lui et veut savoir ce qui a pu conduire la vieille dame à se faire abattre dans son propre appartement.
En fourrant son nez dans une affaire qui ne le regarde pas, Jack déclenche la fureur de quelqu'un qui engage les Sept Démons pour le faire taire. Mais Jack n'est pas du genre à se laisser exécuter.
Il faut toujours se méfier de l'eau qui dort.
J'ai plusieurs fois au cours de ma lecture pensé à une sorte de course poursuite à la Pulp Fiction. J'ai ri aussi. Souvent.
Mais l'écriture m'a donné beaucoup de mal. La rédaction ressemble au flot de pensées ininterrompu du narrateur. J'ai déjà du mal avec le langage « parlé ». Alors le langage pensé…
En résumé, une expérience pas mauvaise mais je manquais peut-être un peu de cocaïne pour l'apprécier pleinement.
A lire sur un échafaudage.
Une lecture bien difficile.
Ici nous faisons la connaissance de Jack, dealer de drogue haut de gamme.
Une femme s'est faite tuer dans son immeuble. Il pense être la cible au final et mènera son
enquête qui le conduira sur la route des Sept Démons. Un déchaînement de violence, de haine,
de force et de sang s'ensuivra.
J'ai vraiment eu du mal avec le style d'écriture qui est, pour moi, tout bonnement trop
difficile à suivre. Les phrases ne sont presque jamais finies, les mots qui les composent
n'ont pas de liens apparents entre eux.
Au final, à la fin malgré le style d'écriture iparticulier on comprends l'hitoire, on
regrette juste la manière dont elle a été racontée.
Je peux dire que j'ai plus ou moins détestée ma lecture malgré le fait qu'il y ait de l'action
à foison et qu'on peut se mettre légitimment à la place de Jack et de ses actions qui en
découlent.
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