"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
C'est le jour de la grande maladie. L'épidémie reproductive qui annonce la fin du monde et le perpétuel recommencement. Cordobal s'accroche au pouvoir. La révolte gronde toujours mais sur les pelouses en pente, le chef n'est plus seul. Giffard qui s'est sacrifié pour le sauver et l'a rejoint au paradis des AK. Un paradis fait de pelouses en pente (justement) où il fait bon sauter et faire des cabrioles, mais bon on s'fait quand même un peu chier... Et le chef bien content de n'être plus seul sur les pelouses en pente. C'est comme le ski, sauf qu'il faut remonter à pied. Mais bon, quand on n'a pas de bras...
C'est le retour des AK, ces peluches hilarantes (qui n'ont donc pas de bras), qui vivent dans un carton, plus proche du dépotoir d'hôpital que du palace 5 étoiles, où se rejouent tous les drames humains à l'échelle d'un carton (justement).
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