"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Et si les vingt-quatre heures dune journée racontaient notre vie entière, et en exprimaient la quintessence à travers les petits moments qui la composent ? Ainsi va la vie ou les petites scènes de l'ennui ordinaire nous parle de cette journée, qui tient lieu de fil rouge de l'existence. C'est d'abord l'éveil, re-naissance au sein d'un environnement connu mais différent. Puis les moments s'égrènent, du marché et de sa cohorte de curieux ou de sans-gêne, aux vacances en bord de mer, lieu de plaisir et de petites contrariétés, autour d'un rituel étrange, le bronzage. Vient alors l'évocation de l'amour, ce sentiment semblable à nul autre, qui réunit deux âmes, mais aussi deux corps. Qui peut vaincre l'amour ? Personne, à part peut-être la mort, qu'on ne peut éviter et à laquelle on ne peut se résoudre Par une succession de tableaux humoristiques, passionnés ou angoissants, entrecoupés de petites transitions qui font office de passerelles, l'auteur nous entraîne dans le tourbillon de la vie, avec talent et impertinence. Un livre sincère et qui donne à réfléchir.
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