Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Dans la lignée de Comme un lundi, son précédent opus dans la même collection, James continue d'explorer, avec 365 fois 77,8 (soit la vie d'un homme), une veine humoristique humaniste et plus philosophique que dans ses autres travaux, souvent plus acerbe (Dans mon open space chez Dargaud) ou plus critique (Les mauvaises humeurs de James et la Tête x, Pathetik, chez 6 Pieds sous terre). Humaniste mais un peu désespéré parfois, usant de métaphores ou de situations vues et vécues pour raconter, sous formes de courtes histoires, des fables sur le tragique et l'espoir de la communication entre les gens, des bonnes intentions qui se croisent sans toujours se rencontrer, des petits mensonges qu'on fini par aimer, du temps qui passe et des sentiments qui nous travaillent. Des choses certes banales mais universelles que, justement, la plume de cet auteur hyper doué recontextualise, les fait ainsi exploser dans notre esprit, vêtues d'une apparente simplicité.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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