A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Le narrateur a toujours vécu seul avec son père. Quand celui-ci décède, comme il y a des rats dans la maison, il adopte un chien. Une amitié se lie entre eux. Mais problème: le chien est bagarreur et n'hésite pas à foncer sur les toutous de ces dames. Notre narrateur se sent bientôt de trop dans la communauté et supposant qu'on emènera son chien à la fourrière, il fuit et part alors sur les routes, avec sa vieille voiture. Il évite les villes et traverse les campagnes, dort dans sa voiture avec son chien. Il lui parle, luir aconte sa vie et commente tout ce qu'il voit. Jusqu'à quand pourra-t-il tenir ainsi ?
Un seul personnage donc tout au long de ce récit (ou presque). Trop faible pour mettre une muselière à son chien ou s'opposer à son père lorsque celui-ci était en vie. On comprend qu'il n'a jamais reçu ni éducation, ni amour. Il a eu la chance d'apprendre à lire et il se réfugie dans les les livres mais n'est jamais allé à l'école. C'est l'enfant handicapé, l'idiot qu'on a caché et qui toute sa vie manquera de confiance en lui. Il n'est pourtant pas bête. Naïf lui conviendrait mieux.
Je ne conseillerai pas ce roman à n'importe qui mais je le trouve assez exceptionnel. Beaucoup de non-dits derrière ce monologue mais on devine. Une réussite. Une belle écriture.
Tout d'abord merci à Lecteurs.com et 10/18 pour cet envoi, j'étais très contente de recevoir ce roman pour lequel la première et la quatrième de couverture avait été un petit coup de foudre.
L'auteure y dépeint le destin de deux paumés, deux solitaires qui vont se rencontrer dans une Irlande plutôt grisâtre et pas du tout féerique. Un chien borgne One Eye et un homme de 57 ans Ray.
C'est le premier être vivant avec qui cet homme va engager une relation.
Mais la peur d'être séparés car le chien peut être violent, conduit le nouveau maître à fuir son bourg et entamer un road trip avec lui.
Malheureusement le fameux coup de foudre n'était pas au rendez-vous. Ce livre est très noir, je pensais que la rencontre avec ce chien allait allumer des lumières dans les vies des 2 protagonistes mais on est sur des destins vains. Je me suis ennuyée, j'ai trouvé le temps long et les descriptions trop présentes pour le peu d'action.
J'ai parfois été contrariée, à la limite de la nausée lors de certaines scènes (père dans le grenier, hygiène de Ray...)
Bref, je n'ai pas trop compris les critiques dithyrambiques. Je le placerai sur mon étagère aux OVNI tellement c'était spécial.
Je remercie Lecteurs.com et les éditions 10/18 pour l'envoi du livre 'Dans la baie fauve' de Sara Baume.
J'adore les animaux, et tout particulièrement les chiens. Le roman de Sara Baume 'Dans la baie fauve' semblait donc tout indiqué pour me séduire. Il narre l'histoire d'un homme solitaire, vivant en dehors de la société, qui tombe par hasard sur l'affiche d'un chien à adopter dans la vitrine d'un magasin. Personne ne veut de ce chien borgne, malmené par la vie et agressif envers ses congénères et les humains.
J'avais hâte de voir ces deux âmes se trouver, s'entraider et peut-être s'ouvrir au monde. En réalité, on assiste à la poursuite de leur longue descente aux enfers, à deux. Pour moi, l'étincelle n'a pas eu lieu. J'ai trouvé ce livre lent, particulièrement déprimant et sans lumière. Le récit est monotone, bien que le passé atypique du protagoniste se dévoile peu à peu. Balades, ennui, fuite... Les paysage irlandais grisonnants où se déroule l'histoire ne font que nous plonger encore plus dans la tristesse.
Deux êtres abîmés se rencontrent pour s'enfoncer encore plus dans la solitude... Ce n'est de la faute ni de l'un, ni de l'autre, aucun n'ayant vraiment reçu d'amour jusqu'à présent, et on peut dire qu'ils s'aiment tous les deux, même maladroitement. Ce qui m'attriste c'est qu'une simple main tendue, et acceptée par eux, aurait pu tout changer. J'ai eu de la difficulté à finir ce livre tellement il m'a mise mal à l'aise. Sara Baume a très certainement atteint son but, sans toutefois réussir à me toucher. Violence, solitude, rejet, incompréhension... Un bien triste portrait de l'humanité...
Le narrateur a toujours vécu seul avec son père. Quand celui-ci décède, comme il y a des rats dans la maison, il adopte un chien. Une amitié se lie entre eux. Mais problème: le chien est bagarreur et n'hésite pas à foncer sur les toutous de ces dames. Notre narrateur se sent bientôt de trop dans la communauté et supposant qu'on emènera son chien à la fourrière, il fuit et part alors sur les routes, avec sa vieille voiture. Il évite les villes et traverse les campagnes, dort dans sa voiture avec son chien. Il lui parle, luir aconte sa vie et commente tout ce qu'il voit. Jusqu'à quand pourra-t-il tenir ainsi ?
Un seul personnage donc tout au long de ce récit (ou presque). Trop faible pour mettre une muselière à son chien ou s'opposer à son père lorsque celui-ci était en vie. On comprend qu'il n'a jamais reçu ni éducation, ni amour. Il a eu la chance d'apprendre à lire et il se réfugie dans les les livres mais n'est jamais allé à l'école. C'est l'enfant handicapé, l'idiot qu'on a caché et qui toute sa vie manquera de confiance en lui. Il n'est pourtant pas bête. Naïf lui conviendrait mieux.
Je ne conseillerai pas ce roman à n'importe qui mais je le trouve assez exceptionnel. Beaucoup de non-dits derrière ce monologue mais on devine. Une réussite. Une belle écriture. Merci pour ce concours !
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A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
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