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Frantz Duchazeau

Frantz Duchazeau

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    Couverture du livre « Les derniers jours de Robert Johnson » de Frantz Duchazeau aux éditions Sarbacane

    Pascal TOURRES sur Les derniers jours de Robert Johnson de Frantz Duchazeau

    « Chanteur de Blues … » et guitariste, Robert Johnson a fortement influencé le blues du début du XX ème siècle.

    Frantz Duchazeau nous offre une balade dans ce blues black avec le parti pris du Noir & Blanc (parfois rugueux) qui nous immerge dans l’époque et l’univers de Robert Johnson, avec...
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    « Chanteur de Blues … » et guitariste, Robert Johnson a fortement influencé le blues du début du XX ème siècle.

    Frantz Duchazeau nous offre une balade dans ce blues black avec le parti pris du Noir & Blanc (parfois rugueux) qui nous immerge dans l’époque et l’univers de Robert Johnson, avec ses errances et ses excès (femmes, alcool, …), la misère de tous les jours, mais une recherche de liberté dans ce sud des Etats Unis où la musique occupe une place importante que « les blancs » et le nord découvrent progressivement avec attirance.

    Ce pavé (et sa couverture bleue) se laisse avaler / voir / écouter avec (grand) plaisir et intérêt.
    Du beau et grand Duchazeau qui nous avait déjà emporté dans s(c)es univers avec « Blackface Banjo », « le rêve de Méteor Slim » ; mais aussi avec « Les vaincus ».

    Un ouvrage de grandes qualités

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    Couverture du livre « Les derniers jours de Robert Johnson » de Frantz Duchazeau aux éditions Sarbacane

    BD APRÈS BD sur Les derniers jours de Robert Johnson de Frantz Duchazeau

    En 1938, Robert Johnson à vingt-sept ans, à mi-chemin entre l'errance du vagabond et l'élégance du dandy, il arpenta en costume rayé les routes poussiéreuses du Mississippi avec sa guitare et une bouteille de Bourbon.

    « Ma route est aussi noire que la nuit »

    L'histoire nous plonge dans le...
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    En 1938, Robert Johnson à vingt-sept ans, à mi-chemin entre l'errance du vagabond et l'élégance du dandy, il arpenta en costume rayé les routes poussiéreuses du Mississippi avec sa guitare et une bouteille de Bourbon.

    « Ma route est aussi noire que la nuit »

    L'histoire nous plonge dans le voyage intérieur d'un homme marqué par la douleur et le tourment, portant en lui les cicatrices d'un passé douloureux, tandis que le musicien est espéré sur la scène du Carnegie Hall à New York. Distillant sa musique un peu partout dans les villes du Sud, les flash-back nous ramènent à une enfance marquée par l'abandon paternel, la violence d'un beau-père, les champs de coton, et plus tard, la perte de sa femme.

    « Je suis mort. Ce n'est pas la première fois. Mon pauvre Bob, tu es mort depuis longtemps. Souviens-toi de cette petite lumière. Elle s'est éteinte trop vite. La première fois, c'est lorsque tu m'as abandonné Mama. »

    Ce récit, construit comme une course contre la montre, peut parfois nous égarer dans ses détours temporels. Entre les routes poussiéreuses et les lieux où résonne le blues, Robert Johnson s'enivre d'alcool et s'abandonne dans les bras de ses rencontres féminines pour tenter d'éloigner un instant les fantômes de sa vie. La musique, la tristesse, le doute, la poussière, la pauvreté, le racisme, la mélancolie, l'alcool, l'autodestruction et le fatalisme imprègnent les pages de l'album.

    Les illustrations, saisissantes en noir et blanc, charbonneuse, captivent par leur détail, leur finesse et leur puissance. Les paysages sont magnifiquement rendus, les visages expriment toute une palette d'émotions, les décors dépeignent une poésie envoûtante, les scènes sont vivantes et les ambiances sublimes.

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    Couverture du livre « Les derniers jours de Robert Johnson » de Frantz Duchazeau aux éditions Sarbacane

    bulle.noire sur Les derniers jours de Robert Johnson de Frantz Duchazeau

    Août 1938, Robert Johnson meurt. Lui qui a passé sa vie à la saborder, qui a pleuré sa mère, sa femme morte en couches avec leur bébé, lui qui a cherché son vrai paternel, lui qui a vu dans la musique, l'harmonica puis la guitare, le moyen de mettre de la lumière autour de lui...lui qui disait...
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    Août 1938, Robert Johnson meurt. Lui qui a passé sa vie à la saborder, qui a pleuré sa mère, sa femme morte en couches avec leur bébé, lui qui a cherché son vrai paternel, lui qui a vu dans la musique, l'harmonica puis la guitare, le moyen de mettre de la lumière autour de lui...lui qui disait avoir passé un pacte avec le diable arrive au bout de sa route.

    Une route bien accidentée, pleine d'alcool, de souffrances et d'errances entre bagarres et aventures féminines. Après "Le rêve de Meteor Slim" paru en 2008, Frantz Duchazeau retrouve le blues et narre le parcours chaotique d'un des meilleurs guitaristes du genre. Un album que l'on savoure d'autant plus que les 222 planches avaient disparu (pour ceux qui se souviennent de l'appel lancé par Frantz Duchazeau sur les réseaux).

    Et c'est vrai qu'elles sont magnifiques ces planches en noir et blanc, au trait charbonneux, plantant bien le décor sudiste des Etats-Unis et exprimant fortement la douleur d'un homme perpetuellement en mouvement. Pour New-York et espérer aller en studio, jouer au Carnegie Hall, pour trouver son père, pour éviter la misère...

    Ce très beau livre tombe idéalement pour raviver la mémoire et tracer le parcours d'un musicien à la carrière courte mais qui reste une référence pour beaucoup. Il tente également d'éclaircir une mort qui reste mystérieuse... une très belle lecture !

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    Couverture du livre « Debout les morts : fantaisie macabre » de Frantz Duchazeau aux éditions Sarbacane

    Lionel Arnould sur Debout les morts : fantaisie macabre de Frantz Duchazeau

    Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net


    C’est la deuxième BD en quelques mois, à ma connaissance du moins, qui sort sur ce thème de la fameuse Fête des morts au Mexique. Mais attention, pas n’importe quel Mexique, le Mexique colonial des années 1920 où, malgré la récente...
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    Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net


    C’est la deuxième BD en quelques mois, à ma connaissance du moins, qui sort sur ce thème de la fameuse Fête des morts au Mexique. Mais attention, pas n’importe quel Mexique, le Mexique colonial des années 1920 où, malgré la récente Revolución de 1910, les grands propriétaires terriens d’origine espagnole font encore la loi. Dépeints ici comme d’odieux personnages (ce serait compliqué de faire autrement), ces derniers ont ici à faire avec une nouvelle armée révolutionnaire constituée principalement des paysans révolutionnaires ayant perdu la vie dans le récent conflit intérieur.

    Alors, certes, on assiste à de joyeux massacres de nauséabonds colons blancs racistes ou l’humour permet de dédramatiser un peu la chose, mais je reste tout de même perplexe devant le dessin de Frantz Duchazeau. En effet, autant je trouve qu’il peut nous pondre des cases vraiment superbes, tout en nuances et avec un trait parfaitement assuré, autant certaines cases, voire certaines pages, me donnent une impression de fouillis un peu brouillon. C’est notamment le cas justement pour les scènes de massacres collectifs, avec des proportions totalement décalées chez les personnages (hypertrophie de la tête bien souvent, rappelant les gravures caricaturales des XVIIIe et XIXe siècles). Alors, c’est peut-être fait exprès, mais ajouté à cela un trait beaucoup plus approximatif, le ressenti est plutôt brouillon et je trouve cela dommage.

    Pour le reste, le scénario est intéressant et met le doigt sur les ignobles relations de dominations qui se sont installées dans le « Nouveau Monde » pendant les siècles qui ont suivi l’arrivée de Christophe Colomb ou même Hernán Cortés, et c’est tout à son honneur.

    Bref, une lecture assez sympathique mais qui aurait peut-être mérité un traitement graphique parfois plus abouti.

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