"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'écriture de Théo Askolovitch évolue entre humour et tragique. Il décrit la vie telle qu'il la connaît, avec un sourire. Après 66 jours, monologue sur le combat d'un jeune homme face au cancer créé à Théâtre Ouvert, Théo Askolovitch poursuit son travail sur le thème de la réparation. Zoé [et maintenant les vivants] aborde le sujet du deuil, de la relation que l'on entretient avec les mort·e·s, et avec celles·ceux qui restent.
Dix ans après la perte d'un être cher, le père, la fille et le fils nous racontent avec délicatesse les étapes de leur reconstruction. Il·elle·s se rappellent l'annonce, l'enterrement, les rites religieux, puis la vie d'après et dressent le portrait intime d'une famille qui résonne en chacun·e de nous.
Zoé [et maintenant les vivants] Pièce écrite pour 2 comédiens et 1 comédienne 66 jours Pièce écrite pour 1 comédien
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