"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Comment naît une histoire ? Dans un monde sans dieux, la réponse demeure dans l'incertitude la plus totale. Sophie - Brooklyn de son vrai nom -, la trentaine, revient vivre à Paris après des années d'absence. Un peu perdue, elle furète sur Internet, quand elle tombe sur le mystérieux e-mail d'un écrivain qui propose à qui le veut bien de lire ses contes et nouvelles. Intriguée, elle demande à les recevoir, sans imaginer qu'ils vont la conduire à Trieste où elle fera la connaissance d'Ali Farkem, le séduisant voleur de cartes.Mais qui est au juste cet auteur anonyme ? Pourquoi se sent-elle irrémédiablement attirée vers lui ? Que signifient ces nouvelles éclatées et pourtant si liées à sa propre vie ? Avec Voleur de cartes, Eduardo Lago nous conduit sur les routes d'un captivant voyage initiatique, existentiel et littéraire. Au travers des nouvelles éparses dans le roman, il survole les cinq continents et nous offre des aventures qui sont autant de morceaux de bravoure éclectiques. Un homme qui tente de se suicider et tue finalement son sauveur. Un auteur qui a perdu son ombre. Un manuscrit de Kipling retrouvé en Inde. Une tuerie au Darfour. Un croque-mort qui prend sa retraite. À la manière de Jostein Gaarder dans Le Monde de Sophie, il nous invite à un apprentissage du monde fantasmé de la fiction, un monde hanté par les histoires et les personnages, laissant le lecteur mener l'enquête et plonger avec lui dans le réseau qu'est la littérature.
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