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Comment peut-on appeler des textes courts qui " ne s'ajustent véritablement à aucun genre, car ce ne sont pas des poèmes en prose, ni les pages d'un journal intime, ni des notes destinées à un développement ultérieur " ? Julio Ramon Ribeyro décide de les appeler proses apatrides car " il leur manque un territoire littéraire qui leur soit propre ". Ces deux cents textes, parfaits exemples de son art du fragment, révèlent un écrivain curieux et attentif, dont le regard ironique capte les moindres faits et gestes de ses contemporains. Il donne une profondeur inattendue à ces petits riens qui, bout à bout, font la vie d'un homme. De l'anecdotique il fait naître l'essentiel. Ni moralisatrices, ni gratuites, souvent amusantes, parfois mélancoliques, ces Proses apatrides nous font entrer dans l'univers d'un grand écrivain, d'un merveilleux conteur d'histoires.
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