"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le 5 décembre 2013, jour de la mort de Nelson Mandela, le narrateur, Massimo Pietro Cruz, soixante ans, s'apprête à passer sa dernière nuit à son domicile. Auteur de variétés, victime de la crise économique et de spéculations financières, il sera expulsé le lendemain à 8 heures et viendra grossir le rang des SDF romains. Ses seuls compagnons sont deux chiens (Valzer et Twist) et une brebis (Pecora). Il découvre chez lui un enfant de huit ans. À la fois solaire, fragile et d'une grande sagesse, le garçon prétend s'appeler comme lui. Il suggère au narrateur, pour expliquer certains de ses comportements, d'appeler à l'aide ses parents décédés. Commence ainsi une nuit extraordinaire.
Un roman poétique et intelligent, une fable contemporaine qui invite le lecteur à s'interroger sur le sens véritable de la vie. Original, il fait référence à des thèmes concrets et présente la théorie de l'analyse transgénérationnelle de manière plaisante.
Sur ces bases concrètes, la trame se déroule dans le merveilleux et nous rappelle l'une des leçons les plus importantes de la vie : nous pouvons perdre tous nos biens, mais nous demeurons riches dans nos coeurs aussi longtemps que scintillent les étoiles de notre imaginaire.
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