Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Dominique Meens s'est toujours passionné pour les oiseaux (voir entre autres, les trois tomes chez Allia, de sa très réputée Ornithologie du promeneur). Mes Langues ocelles se situe dans le sillage de cette passion.
Comme l'auteur a bien dû, et pas mal, se déplacer pour les entendre, ces oiseaux, c'est un ouvrage qui se déplace beaucoup entre l'essai, le dialogue, le poème, et qui de même déplace beaucoup. On dit si bien : la question est déplacée.
Et c'est encore une fois un régal d'insolence, d'érudition et de culture, de virtuosité littéraire.
Un mot de son dessin. Ce livre arrange son fil comme on faisait autrefois les pelotes de laine. Il danse en huit autour d'un vide, celui, on ne s'en étonnera pas, de ces langues supposées.
Le lecteur pourra l'augmenter de l'audition des enregistrements effectués par l'auteur et mis à sa disposition sur Internet. Emporter sa lecture dans les bois pourrait être une solution plus adéquate encore.
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