Des idées de lecture pas comme les autres !
Ils pourraient être vos voisins.
Fanny a 17 ans. Elle fuit vers l'Allemagne, sans un regard en arrière. Seul l'avenir compte. L'avenir avec Maïa, sa meilleure amie, son âme-soeur.
Au coeur du Jura, dans le village paisible et idyllique de Malmaison-le-lac, les habitants sont en état de choc. La famille Parrisot a disparu. Le capitaine de gendarmerie Bruno Albertini se rend dans la bâtisse isolée désormais vide, dont les premiers indices laissent à penser qu'un massacre s'est déroulé en ces lieux et que le contenu du coffre-fort a été dérobé.
Et tout semble indiquer que Fanny Parrisot serait la clé de cette nuit sanglante.
Des idées de lecture pas comme les autres !
"Une vallée si paisible. Un lac placide. Comme une flaque d'essence qu'une allumette suffirait à embraser."
Un cri strident, de la terreur, une faible lueur, des vociférations, des chocs sourds, des pas feutrés, de l'incompréhension, du sang poisseux, des sanglot de détresse, des cheveux bleu indigo, le barnum policier, être là l'une pour l'autre, un nœud dans la gorge, personne ne répond, une maison d'architecte, un chat persan, le cœur qui s'emballe, une impression étrange, le reflet du soleil, une bouffée d'angoisse, une cocotte-minute qui explose, un regard vitreux, des crocs dans le ventre, pas le droit à la moindre erreur, des montagnes boisées, masquer sa solitude, la pression médiatique et judiciaire, un bloc de glace, avoir du mal à gérer ses émotions, de la peinture qui s'écaille, la psychose qui s'installe, s'enfermer dans le travail, une onde de choc, une longue lettre, une disparition inquiétante...
C'est un très bon thriller avec beaucoup de rythme, incisif, scénarisé, efficace, qui m'a tenue en haleine jusqu'au bout.
Les personnages sont bien campés, l'ambiance est électrique, et l'histoire est intensément réaliste.
Je découvre avec intérêt et plaisir l'auteur, Nicolas Leclerc, qui s'est inspiré d'un fait divers pour ce roman noir vraiment prenant.
Je vous dois une confession, j’ai été menée en bateau du début à la fin par Nicolas Leclerc. Le cadre était posé, je n’avais qu’à le suivre. Mais c’est sans compter sur les multiples indices et rebondissements semés ici et là. Quand je pense avoir tout compris, clac, je dois tout reprendre et c’est là que je reconnais le talent de l’auteur. J’ai vraiment été happée par l’histoire, prise dans les filets de cette famille. Les personnages sont attachants, les thèmes sont d’actualité, l’enquête donne des frissons. Et cette fin, boum, je n’ai rien vu venir. C’est réussi.
http://www.mesecritsdunjour.com/archives/2024/01/02/40158242.html
Ma première expérience avec Nicolas Leclerc était un peu trop fantastique à mon goût. Mais ne voulant pas rester sur ma première impression, j’ai suivi les conseils de mes collègues de la blogosphère et me suis lancé dans son dernier bébé. Et je m’en félicite !
La disparition mystérieuse et sanglante d’une famille est au cœur de l’aventure. Devant ce drame inconcevable, les langues se délient facilement. Plus l’enquête avance, plus on en apprend sur les personnages et plus les secrets remontent à la surface. Les protagonistes nous apparaissent alors tels qu’ils sont, avec leurs turpitudes. Tout ce qui paraissait idyllique se révèle beaucoup plus malveillant, à travers les rancœurs familiales, les jalousies, le racisme ambiant.
Chapitre après chapitre, l’auteur met en place un mode de narration qui alterne entre les investigations proprement dites et des extraits du journal intime du seul personnage dont on n’a pas de nouvelles. Les différents acteurs évoluent dans le même espace-temps mais à distance. On peut donc comparer les hypothèses des enquêteurs avec les véritables faits. Cette mécanique diabolique permet de dérouter le lecteur sur une multitudes de pistes pour pouvoir mieux le tromper. Ainsi, comme moi, vous n’aurez de cesse de changer d’avis sur l’issue de cette histoire.
Vous aurez compris que j’ai été conquis par cette lecture. Ma persévérance a payé et c’est une nouvelle fois la preuve qu’il ne faut pas rester sur ses aprioris. Je suis donc ravi de m’incliner devant Nicolas Leclerc, qui avec ce thriller aux petits oignons, m’a embarqué dans une histoire obsédante. Son scénario finement élaboré, ses personnages incarnés et ses retournements de situation m’ont tenu en haleine du début jusqu’à la fin. Fin, que je n’avais bien sûr pas devinée !
« Le veilleur du lac » sera un parfait compagnon pour vous effrayer au coin du feu.
https://leslivresdek79.wordpress.com/2023/12/21/900-nicolas-leclerc-le-veilleur-du-lac/
Si vous me « suivez » dans mes aventures livresques, vous devez savoir que Nicolas Leclerc est un auteur que j’affectionne particulièrement depuis la parution de son premier thriller avec « Le manteau de neige ». Dès ce premier ouvrage, j’avais trouvé beaucoup de qualités tant dans l’histoire en elle-même, que vis-à-vis de la plume de l’auteur qui était déjà bien maîtrisée.
En octobre de cette année est paru son quatrième thriller avec « Le veilleur du lac ». Ce dernier dévoré littéralement une fois encore, l’auteur m’a séduite tant par son écriture que par la bonne dose de suspens distillée dans ses 400 pages.
Disposant ses décors bien loin de toute grande ville française, comme à chaque fois dans ses livres, Nicolas Leclerc nous emmène dans le Jura, au cœur d’un petit village au cadre idyllique, Malmaison-le-Lac. Pourtant, ce qu’il s’y est passé une nuit d’août est bien loin de tout enchantement : la famille Parrisot a disparu et les traces de sang qui fourmillent dans leur maison ne laissent que peu de doute quant à ce qu’il s’y est déroulé.
Alors qu’à de nombreuses reprises, on se dit qu’on a découvert le fin mot de l’intrigue, on est, en fait, à mille lieues de ce qu’a imaginé l’auteur. Il a su me retourner l’esprit maintes fois et ça j’apprécie particulièrement dans la littérature noire.
Les lieux font beaucoup dans l’histoire. Habitant en ville, j’allais l’impression d’y être moi-même, portée par l’écriture très visuelle. L’enquête policière m’a aussi passionnée jusqu’au final surprenant qui m’a bien tenue en haleine.
Je vous conseille donc vivement ce livre, « Le veilleur du lac » et vous engage à suivre, Nicolas Leclerc. Certes encore un jeune auteur sur la scène du thriller francophone mais qui a tout le mérite de figurer auprès des plus grands noms !
Une belle histoire est du suspens , un résumer qui enchanté de découvrir se roman , noter pour une bonne lecture en perspective bien sur
Haut-Doubs, au bord d'un lac. Une famille entière est massacrée à part la fille aînée, Fanny, qui avait fugué cette nuit là, peu de temps après avoir appris un secret qui l'avait bouleversée. Elle s'enfuit en Allemagne avec sa meilleure amie, Maïa et son copain Idriss. L'enquête est confiée au capitaine de Gendarmerie Bruno Albertini et à la commandante Norah Belloumi, de Besançon.
Le roman s'ouvre sur une scène abominable, effroyable : Maxence, 11 ans, voit sa mère se faire assassiner devant ses yeux avant d'être lui-même attaqué par le tueur. Le final, impossible à imaginer, est tout aussi glaçant et nous laisse sidérés. Entre les deux, une enquête haletante, addictive, parsemée de fausses pistes que l'auteur rend tout à fait crédibles avant de les démonter consciencieusement. Les enquêteurs, eux aussi très crédibles, révèlent des blessures personnelles qui les rendent attachants; le capitaine est veuf depuis 6 ans, il n'arrive pas à vivre sans sa femme et néglige son fils de 17 ans avec lequel il n'arrive pas à communiquer. La commandante, elle, a vu son amour se faire tuer à ses côtés lors d'une intervention.
Le thème central du roman ne peut qu'interpeller le/la lecteur/trice : le harcèlement scolaire et le rejet des parents par les enfants, les isolant dramatiquement.
Un excellent thriller d'un auteur que je ne connaissais pas et dont je vais m'empresser de découvrir les autres, parus antérieurement.
#LeVeilleurdulac #NetGalleyFrance
Un grand merci aux éditions du Seuil pour ce très prenant roman.
Je poursuis donc mes pérégrinations régionales et je me retrouve dans un village du Jura, près d’un lac.
Il s’en passe des choses sur la commune de Malmaison-le-lac, la famille Parisot a disparu, le père, la mère, et deux de leurs enfants, deux garçons, mais pas la fille, Fanny. Le même jour, avec une copine et le copain de celle-ci elle se sauve vers Strasbourg, puis Hambourg. Les gendarmes conduits par Bruno Albertini renforcé par Norah Belloumi, apprenne les deux faits simultanément.
Il n’aura fallu que 3 chapitre pour dresser les différents décors. Nicolas Leclerc dont ce roman est le 4ème, nous présente les protagonistes de cette tragédie, (il s’est inspiré d’un fait divers).
La famille Parisot, Maxence, Sasha, Fanny, Benoit et Chrystelle les parents. Benoit a un frère, Damien qui avec sa femme Aline, et ses deux filles Anaïs et Laurie n’ont pas d’atomes crochus, leur mère en EHPAD privilégie Benoit.
Une histoire de famille assez classique.
Au fil des chapitres, nous voyons apparaître les questions que les gendarmes se posent, notamment Bruno le commandant, et les découvertes assez macabres vont survenir, pour embrouiller la compréhension de l’ordonnancement des faits.
Nous apprenons de la part de Fanny qui écrit à sa mère dans plusieurs chapitres qui sont intercalés afin de nous dévoiler ses sentiments sur sa famille. Nous savons que sa mère ne pourra jamais les lire, mais Fanny ne le sait pas.
Nous sommes tenus en haleine jusqu’à la fin de ce roman, il nous tient à cœur de comprendre ce qui s’est véritablement passé, mais l’auteur brouille les pistes intentionnellement pour que le suspens dure, c’est un peu le jeu.
La vérité ne sera dévoilée que dans les derniers chapitres et nous laissera ébahis devant de tels révélations que nous n’aurions pas pu imaginer au début du roman.
J’ai beaucoup aimé le style d’écriture simple, mais efficace de Nicolas Leclerc et je continuerai à suivre cet auteur qui se fait une place dans ce monde des auteurs de thrillers déjà bien fournis.
Je recommande cette lecture.
Le lac rouge
Je tiens tout d’abord à remercier très chaleureusement NetGalley et les éditions du Seuil pour leur confiance et pour m’avoir permis de découvrir le dernier opus de Nicolas Leclerc.
Que s’est-il passé cette nuit d’été au domicile de Benoît et Christelle Parisot ? Lui proviseur de lycée, elle dentiste. Trois enfants, les garçons Maxence 11 ans et Sasha, 7 ans ; une fille, l’aînée Fanny, 16 ans. Une famille sans histoire, une vie tranquille, un peu bourgeoise dans ce petit bourg de la haute vallée du Doubs, près d’un lac. Seulement voilà, tous ont été massacrés. Tous, sauf Fanny qui a disparu cette fameuse nuit. Alertée par la famille, la gendarmerie doit se rendre à l’évidence : aucune trace des Parisot, la maison a été nettoyée de fonds en comble, les voitures sont là… Mauvais signe. Le capitaine Bruno Albertini chargé des premières constatations qui connait parfaitement son village et ses habitants va devoir composer avec la Section de Recherches de la police de Besançon pour tenter de résoudre le mystère.
Dès les premières pages, nous connaissons le drame qui s’est déroulé dans la belle maison des Parisot. Pas de surprise de ce côté-là. En revanche, (et heureusement !) l’auteur ne nous donne que peu d’indice sur le ou les meurtriers, et surtout, sur le mobile. En parallèle, dans la première partie, nous suivons Fanny et son périple vers l’Allemagne : pourquoi s’est-elle enfuie ? Elle devient, de fait, la première suspecte…
Je suis fan des polars bien noirs de Nicolas Leclerc que j’ai eu la chance de rencontrer l’année dernière, grâce à Babelio. Il a un don pour accrocher le lecteur avec des personnages somme toute « ordinaires » des hommes et des femmes que l’on pourrait côtoyer. C’est vraiment très bien fait. Evidemment, on n’échappe au cliché du flic un tantinet névrosé, dépressif, mais ça passe ! D’ailleurs, le contexte familial des personnages est primordial et diablement intéressant. J’ai beaucoup aimé également la manière dont l’auteur s’est glissé dans la peau d’adolescents d’aujourd’hui, nos enfants ou petits enfants à mi parcours entre l’enfance et l’âge adulte, qui n’ont qu’une petite idée de ceux qu’ils pourront devenir à l’âge adulte.
Un excellent roman noir, à la hauteur des précédents, que l’auteur a inscrit dans son département de prédilection, pas si tranquille que ça... Je ne peux que vous en recommander la lecture.
#LeVeilleurdulac #NetGalleyFrance
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