"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Paris, février 2002, Francis Valéry se rend aux éditions Denoël pour déjeuner avec son éditeur. À 11 h 57 une violente explosion dévaste la rue de Rennes. Écran noir. Coma. Paris, février 2002, Jean-Hubert de la Thibaudière, auteur jeunesse sur le déclin, arrive aux éditions Steele & Rubinstein. Mauvaise nouvelle : ses ventes chutent, il est fortement prié de réorienter sa carrière. De retour en Avignon, à la suite d'une rencontre avec un bouquiniste douteux, il comprend qu'il n'est pas un écrivain à part entière, mais le dernier en date des nombreux pseudonymes d'un seul et même auteur-mystère. Commence alors une quête métaphysique qui, suite à l'assassinat de son éditeur et de sa trop ambitieuse assistante, deviendra une véritable enquête policière. Roman noir postmoderne, réflexion sur la création littéraire, autobiographie pour le moins approximative, Le Talent assassiné est un livre totalement inclassable qui en dit long sur les moeurs des éditeurs parisiens.
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