"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
On peut être à la fois un des plus grands marins de son temps et un bien piètre terrien...
Après avoir mené avec succès sa dernière mission, consistant à protéger les baleiniers anglais des attaques de leurs concurrents américains dans l'Atlantique Sud, Jack Aubrey - dont le génie des affaires n'est pas la qualité première - se voit convaincre par un gentleman de rencontre d'investir une partie de son maigre avoir dans une opération financière effectuée dans le cadre de la City. Il va sans dire que les organisateurs de l'opération - censée être mirifique - ont cru repérer en Aubrey le pigeon dont ils font leur ordinaire.
Mais ce dernier n'est pas décidé à se laisser plumer sans réagir. Et avec l'aide précieuse de son ami Stephen Maturin - pour qui l'univers des marginaux, des espions et des truands de toute espèce n'a que peu de secrets -, il s'enfonce dans les bas-fonds londoniens pour tenter de se faire justice. Après avoir magistralement recréé la vie à bord des grands voiliers du début du XIXe siècle, Patrick O'Brian démontre avec le onzième volet de sa saga qu'il a plus d'une corde à son arc : sa description du Londres de l'époque est digne des plus grands auteurs classiques, Dickens venant immédiatement à l'esprit.
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