"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans ce récit bouleversant, Sjon réinvente l'histoire de sa famille à travers la figure de Manasteinn, Pierre de lune. Garçon différent, il fuit une réalité âpre dans les salles obscures. À travers cette évocation poétique, c'est Reykjavik que le roman recrée : une ville ravagée par les épidémies qui semblent annoncer la fin du monde. Traduit dans plus d'une quinzaine de pays, Sjon est un personnage important en Islande et en Amérique, couronné de prix littéraires.
Un roman très noire et très sombre. J’ai trouvé que certains passage sont décrits de manières très crue et sont parfois dérangeant. L’ambiance apocalyptique due à l’épidémie de grippe espagnol qui frappe la ville ou vie le garçon est vraiment pesante. J’avoue avoir sauté certains passages qui me semblais complètements incohérents avec des descriptions de scènes irréaliste. J’ai lu rapidement ce livre dans l’espoir que la fin se termine sur un événement joyeux. J’ai eu beaucoup de mal à m’attacher à ce garçon perdu, seule et dont certains choix sont vraiment déroutant. Je n’ai pas non plus été attiré par sa passion pour le cinéma et les nombreuses descriptions qui l’accompagnent m’ont un peu ennuyé. La fin se termine bien et on a enfin des détails du passé du garçon qui permettent de mieux le comprendre. Ce n’est cependant pas une très bonne lecture.
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