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Vingt-deux ans à peine et le vague à l'âme déjà solidement chevillé au corps, André Pastrella, " petit Suisse " à moitié rital, survit au jour le jour en swinguant tant bien que mal entre les boulots précaires et les errances nocturnes saupoudrées d'apnées éthyliques et de mégots échoués au fond des cendriers. Jeune loup solitaire en manque de sexe (beaucoup) et de tendresse (surtout), l'éternel intérimaire n'a cependant qu'un seul Graal : il se rêve écrivain et ne trouve le suprême réconfort qu'à la lecture des romans de John Fante, immigré comme lui, et de son double de plume, Arturo Bandini.
Jusqu'au jour où la sublime Karla, créature slave à la beauté fatale, l'extirpe du spleen de la fiction et le pousse à passer à l'action...
A vingt-deux ans, André vit de boulots successifs et précaires. Il voue une grande admiration à John Fante.
Tout comme lui, les femmes, qui le fascinent, lui font cruellement défaut, il est en manque de sexe mais surtout de tendresse.
Tout comme lui, il est fils de rital, et surtout, il veut devenir écrivain.
André, « le petit rital au caban bleu », c’est l’Arturo Bandini de Joseph Incardona.
J’aime bien ces personnages un peu paumés et solitaires mais bourrés de richesse intérieure.
Le ton est vif et juste, percutant. L’auteur a un réel talent d’écriture. Affaire à suivre !
Le dommage, c’est cette fin trop abrupte.
Que va devenir André ?
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