L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
À travers le cri d'une femme enfermée dans le «Bâtiment de pierre», Asli Erdogan dénonce la torture et les violences policières que fait subir le gouvernement turc à ses opposants. Malgré la dureté de son sujet, elle offre un chant singulier duquel se dégage une paradoxale et inconcevable douceur. Un texte courageux qui aborde un des grands non-dits de la vie politique turque.
Un livre qui n’était pas facile à lire mais je suis allée jusqu’au bout. L’emprisonnement est déjà terrible mais couplé à l’acte de torture cela devient totalement insupportable et paraît insurmontable. Vous êtes non seulement privé de votre liberté physique mais en plus votre corps devient le terrain de jeux d’atrocités perpétuées au nom d’on ne sait quelle raison.
Asli Erdogan est une femme d’un grand courage et d’une grande force.
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