L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Ces nouvelles, réunies sous le titre de Laghia de la mort, témoignent une fois de plus du très beau talent de conteur de Joseph Zobel. Conter n'est pas simple et cet art devient rare dans le monde de l'écriture auquel cet écrivain appartient. Raconter, à la façon de Zobel, exige en effet - outre une extrême habileté - que restent sensibles le frémissement, la chaleur, le ton de la parole vivante; il faut, peut-on dire, écrire au plus près du corps, épouser ses rythmes et ses émois.
A maintenir cette proximité le vrai conteur se révèle; et c'est pourquoi, ici, nous restons à l'écoute, touchés par cette voix toujours maîtrisée et toujours admirablement présente.
Publié en 1946 grâce à la générosité d'un ami, Albert Bezaudin, imprimeur à Fort-de-France, puis par les éditions Présence Africaine en 1978, ce livre aurait peut-être laissé sur leur faim ses lecteurs les plus enthousiastes si Joseph Zobel, du fait d'avoir quitté la Martinique, n'avait pas forcé la maturation de l'oeuvre qui allait suivre et promouvoir le rayonnement culturel de la Martinique, La Rue Cases Nègres.
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