A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
La rose se compose d'une quarantaine de courtes proses, prenant la forme de récits, monologues, portraits, dialogues ou petits essais. Que les héros s'appellent Wladimir, Perceval ou Fridolin, qu'ils soient des amoureux tranquillement transis ou de capricieuses jeunes filles, des personnages de la littérature ou bien des enfants, ou encore des animaux, ces croquis tendres et narquois sont autant d'autoportraits de l'artiste, qui fait devant ses miroirs brisés une dernière promenade. Ils révèlent aussi ce regard propre à Walser, regard distancié porté sur le monde alentour, mais d'une acuité tendre, animée de sollicitude, de sympathie pour les petites gens, pour le quotidien. Pour Robert Walser, La rose est «le plus indocile et le plus jeune» de ses livres, où il y aurait à la fois «beaucoup à comprendre et à pardonner». Il s'agit surtout du dernier livre publié de son vivant, trente ans avant sa mort... il prend donc une singulière valeur, à la fois testament, certainement le plus fin et le plus littéraire de l'auteur de L'Institut Benjamenta, et témoignage de celui qui, de son vivant, a provoqué l'admiration de Musil, Stefan Zweig, Max Brod, Hermann Hesse, Walter Benjamin et bien d'autres.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste