L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
" C'était l'heure où à Mogador les amants se réveillent.
Ils portent encore leurs rêves pris au filet le long de leurs jambes, sous les paupières, dans les moindres creux de leurs corps. Ils dorment, d'un baiser à l'autre. La mer rugit au soleil et les réveille. C'était l'heure où à Mogador toutes les voix de la mer, du port, des rues, des places, des hammams, des chambres closes, des cimetières et du vent se nouent et content des histoires. " La rencontre d'une femme mystérieuse et d'un homme à qui elle lance un défi : elle fera l'amour avec lui lorsqu'il lui décrira les jardins de la ville.
Seulement, il n'y a pas de jardins à Mogador. La Peau de la terre est le troisième volet d'une tétralogie dionysiaque placée sous le signe des quatre éléments, avec une unité de lieu, Mogador.
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