"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au printemps 1947, la fébrilité règne partout sur l'aubrac oú les troupeaux s'apprêtent à reprendre le chemin des estives, partout sauf au cayla, le domaine de léonard fau, oú la mort a frappé pendant l'hiver : l'agression de son gendre, roué de coups et abandonné, agonisant, dans un fossé, a laissé veuve sa fille, blandine.
Pourquoi a-t-on brisé sa vie en s'acharnant sauvagement sur son mari ? qu'avait-il à se reprocher pour mériter un tel châtiment ? quand arrivent les premières lettres anonymes, le maître du cayla doit se battre pour sauver l'honneur de la famille, déjouer les plans de ceux qui convoitent depuis toujours sa " montagne ", un immense pâturage d'été au coeur de ses terres. quant à blandine, la rencontre avec gauthier lui rend peu à peu le goût de vivre.
Avec lui va se construire un couple fort, uni par l'amour de la terre et la volonté de dominer les épreuves.
Daniel crozes nous raconte la vie d'un grand domaine de l'aubrac, dans des années difficiles oú le monde agricole se trouve confronté à de profonds bouleversements. ambitions et rancunes anciennes, attachement aux traditions et goût du pouvoir, les passions ne manquent pas dans ce pays de hautes terres.
Ce livre m'a été offert par ma belle-mère et je me suis sentie obligée de le lire car elle m'avait demandé de le lui prêter une fois que j'aurais terminé de le lire... mais sincèrement, quel soulagement de l'avoir fini!
C'est l'histoire d'une famille d'éleveurs de bœufs dans l'Aveyron dans les années 50-60. Et il n'y a pas plus d'histoire que cela... Au départ on s'attend à ce que le livre tourne autour du beau-fils qui est décédé dans des circonstances intrigantes, mais cette intrigue est classée au bout de 10 pages. Et chaque événement qui aurait pu être développé pour rendre l'intrigue intéressante est classé aussi rapidement voire même encore plus vite...
La seule chose qui m'a, selon mon opinion bien entendu, semblé intéressante, c'était de voir les problématiques auxquelles ont été confrontés les agriculteurs dans ces années-là: faut-il acheter un tracteur? faut-il changer la race d'élevage? comment moderniser le domaine sans toutefois en perdre les valeurs? faut-il garder les terres ou les revendre pour y faire construire une usine ou y implémenter un camp de vacances?
Donc voilà, personnellement ça ne m'a guère plu, cela manquait énormément d'actions. Toutefois il s'agit d'un beau témoignage de la vie des agriculteurs en pleine période d'industrialisation du secteur.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !