"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« N'oubliez pas : la pâtisserie est une preuve d'amour. » Kathleen Eaden, L'Art de la pâtisserie, 1966.Angleterre, de nos jours. Le concours pour élire la nouvelle Kathleen Eaden a commencé ! Cinq candidats sont en lice, réunis par une passion commune. Mais la confection d'un cheesecake ou d'un paris-brest ne suffit pas toujours à faire oublier les blessures et les peines. Jenny, la cinquantaine tout en rondeurs, délaissée par son mari ; Vicki, qui aspire à plus qu'à élever son petit Alfie ; Claire, la jeune caissière mère célibataire qui ne rêve même plus d'une autre vie ; Karen, dont l'apparente perfection dissimule bien des secrets ; sans oublier Mike, veuf en pleine thérapie culinaire... Au cours d'une compétition aussi gourmande qu'échevelée, tous apprendront que l'art de la vie est au moins aussi difficile que celui de la pâtisserie. Généreux et inspirant, bourré d'émotion et d'humour, un premier roman à dévorer d'une seule traite, peuplé de personnages irrésistibles. Une déclaration d'amour à toutes les saveurs de la vie !Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Alice Delarbre.
« Peu d'entre nous sont aussi simples qu'il y paraît au premier abord. »
Gourmandises, émotions, saveurs et sentiments pour ce touchant et chaleureux roman.
Créations culinaires et vies de familles.
En Angleterre, un concours de pâtisserie est organisé pour élire la nouvelle Kathleen Eaden, pâtissière de renom décédée il y a peu. Cinq candidats sont en lice et qu'est-ce qu'ils sont attachants ... cinq personnages issus de milieux différents, avec des situations familiales différentes, ayant chacun leurs petits soucis et des raisons différentes de s'adonner à la pâtisserie.
Un vrai régal, j'ai dévoré ce roman "doudou" et gourmand. Tous les ingrédients sont réunis pour passer un excellent moment !
https://livresque78.wordpress.com/2017/09/22/la-meilleure-dentre-nous-de-sarah-vaughan/
Je vous fais découvrir aujourd’hui ce roman gourmand mais pas que… Aux éditions Le livre de Poche.
Premier livre de l’auteure Sarah Vaughan, qui nous emmène dans un univers sucré, sur fond de concours de pâtisserie, elle nous livre les recettes et leurs secrets de réussite de celles-ci.
Pourtant ce livre est bien plus, car hormis les envies irrépressibles de cuisiner et de savourer qu’il déclenche, ce roman est un mélange de belles histoires, celles des candidats à ce fameux concours et de Kathleen Eaden, qui est leur source d’inspiration. La pâtisserie est pour eux un exutoire à leurs soucis familiaux, une façon d’oublier leurs problèmes, leurs échecs, les coups durs de la vie.
« N’oubliez pas : la pâtisserie est une preuve d’amour. » Kathleen Eaden, L’Art de la pâtisserie, 1966.
Angleterre, de nos jours. Le concours pour élire la nouvelle Kathleen Eaden a commencé ! Cinq candidats sont en lice, réunis par une passion commune. Mais la confection d’un cheesecake ou d’un paris-brest ne suffit pas toujours à faire oublier les blessures et les peines..
Toutes et tous se lancent dans ce concours avec l'envie de gagner. Ils sont certains d'une chose: cette Kathleen Eaden était parfaite et avait une vie sans accroches ni problèmes. Mais derrière ces apparences, cette version est elle la bonne?
Au fil des épreuves de ce concours (5), on va découvrir les 5 concurrents-tes mais aussi Kathleen.. Que cela soit Claire, Vicky, Jenny, Mike ou Karen chacun va se livrer au fur et à mesure de leurs réalisations et dévoiler leurs côtés sombres et leurs faiblesses.
J'ai beaucoup aimé cette découverte pas si légère que cela..; Par contre, faites attention: soyez repus de nourriture avant de le lire car si vous êtes comme moi, vous aurez envie de manger, de déguster toutes les patisseries et autres mets salés évoqués au fil des pages..
Au cours de la lecture, je vous avoue, j'ai fait du pain et un mille feuilles.....je n'ai pas pu résister à la tentation!!
Plongez dans cette gourmandise sans culpabiliser...
Il se dégage de ce roman une très jolie atmosphère, un peu désuète et très sucrée ! Les personnages sont attachants à l'image de Kathleen qui derrière sa façade de parfaite ménagère des 60's cache de réels blessures.
Sarah Vaughan, sur fond de pâtisserie évoque des sujets beaucoup plus sérieux tels que la maternité ou le deuil.
je le conseille et encore plus aux pâtissières telle que moi !
Savoureux et gourmand, un roman qui parle de femmes dans la vraie vie, qui galèrent parfois, et dans lesquelles la plupart d'entre nous pourraient se " retrouver " ... et tout cela dans le contexte d'un concours de pâtisserie.
En conclusion, une lecture fraîche et divertissante qui vous fera passer un agréable moment mais qui pourra vous donner aussi, une envie subite de petites douceurs sucrées.
Quatre femmes et un homme, Jenny, Karen, Vicki, Claire et Mike, sont sélectionnés pour participer au concours de pâtisserie qui couronnera la nouvelle Kathleen Eaden, reine de la pâtisserie dans les années 60.
Pendant plusieurs mois, les candidats se retrouvent donc dans le manoir de la famille Eaden pour confectionner les pâtisseries exigées par le jury.
Au fil de très courts chapitres, ponctués par des extraits du livre et du journal de Kathleen, la vie de chacun des candidats se dévoile avec ses joies, ses chagrins, ses déceptions et ses évolutions. On découvre que, pour eux, la passion de la pâtisserie est bien plus qu'un refuge ou un passe-temps. La confection d'un gâteau devient métaphore d'un projet de vie, d'une manière d'être au monde et d'une quête : suavité, douceur, générosité, élégance et joie.
En unissant ce qui est séparé pour réaliser une recette, c'est à la vie que ces femmes et cet homme offrent de nouvelles couleurs et une nouvelle saveur.
La voix de Kathleen témoigne en contrepoint de l'écart entre la réalité et ce qui en subsiste dans les mémoires : comme le goût d'un gâteau, il n'en reste qu'un souvenir idéalisé.
"La meilleure d'entre nous" se savoure comme une gourmandise qui mêle intimement les émotions. Une recette parfaite pleine de bonté, d'acidité, de fondant et de croustillant. Un petit régal !
La première impression que j’ai ressentie en lisant la quatrième de couverture de cet ouvrage fut une sensation de légèreté liée au thème du concours de pâtisserie. Les compétitions culinaires sont un véritable phénomène qui fleurissent sur nos écrans de télévision et abreuvent nos lundis soirs, et c’est un jeu qui me plaît et auquel je me prête bien souvent, aimant moi-même beaucoup cuisiner. Aussi, j’avais hâte de découvrir un roman abordant ce thème du point de vue des candidats : je ne connais aucun autre roman qui ait proposé cette idée, et j’étais donc impatiente de découvrir La Meilleure d’entre nous pour cette raison.
w514077Petit défaut que je souhaite souligner : même si la couverture jaune des éditions Préludes est très attractive et qu’elle est, du propre aveu de l’auteure, l’une de ses préférées, j’ai eu un véritable coup de coeur pour la couverture originelle, que je regrette sincèrement. Je n’ai pas pu m’empêcher de vous la joindre pour illustrer mon propos (et d’ailleurs, les votes sont ouverts : laquelle préférez-vous ?).
Après quelques pages seulement, nous ne tardons pas à découvrir que Sarah Vaughan use du prétexte d’une compétition culinaire pour mettre en avant un tout autre leitmotiv central et transversal de son roman : la maternité. Tous les protagonistes de son œuvre ont en effet cette thématique en commun : vouloir des enfants, être parent, et gérer de son mieux sa vie de famille.
Chaque personnage s’illustre en cela par ses propres blessures, et l’on retrouve aussi bien la figure de la femme trompée que de la femme adultère, de la mère célibataire à la mère au foyer. Chacune de ces femmes est attachante, et il est facile de s’identifier à la fragilité de Vicki, au manque d’assurance de Karen (dissimulé derrière un trop plein d’arrogance), à la sensibilité de Jenny et au désarmement de Claire… Toutes ces femmes m’ont beaucoup émue, j’ai aimé les accompagner tout au long de cette aventure, les retrouvant de manière aléatoire dans la narration, mais toujours avec logique et linéarité.
Mike présente pour sa part peu d’intérêt pour le développement de l’intrigue. Ce n’est pas un personnage que j’ai trouvé utile : il n’est pas développé, et est délaissé de la narration. Il n’est présent que pour soutenir Claire, mais le fait de manière nuancée et distante. C’est donc une figure que j’aurais pour ma part totalement supprimé de l’histoire, car il ne lui apporte rien de particulier.
Par son étonnante profondeur, La Meilleure d’entre nous a réellement su me toucher et m’a fait passer un délicieux moment de lecture. Un livre apaisant, réel, qui s’imprègne de la vie de tous les jours pour mieux la sublimer. Sous des aspects de futilité, l’auteure surprend et parvient à émouvoir son lecteur qui s’attache à des personnages attendrissants.
En conclusion
Si vous avez un petit penchant gourmand, nul doute que ce livre est fait pour vous ! Avec une intrigue fraîche, divertissante, mais à la fois profonde et marquante, La Meilleure d’entre nous saura vous enchanter le temps d’une escapade pâtissière. A découvrir.
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