L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Berlin, 1928 : Asiadeh Anbari, une jeune beauté d'Istanbul, étudie la philologie turque compa- rée pour maîtriser la langue de ses ancêtres à la recherche de « la poussière du pont de Galata » et de « l'odeur des dattes qui séchaient jadis dans la niche d'angle de sa chambre, sur les rives du Bosphore ».
Son père, « un ministre de l'Empire turc » en exil après la chute de l'Empire ottoman vend des tapis d'orient et soigne son mal du pays devant des cafés sucrés en évoquant le passé glorieux de la Turquie.
Quelques années auparavant, Asiadeh avait été pro- mise au prince Abdul-Kerim ; cependant, sous l'in- fluence de l'occident, la jeune musulmane, tout juste âgée de dix-neuf ans, s'éprend d'un médecin vien- nois, le docteur Hassa. Mais le destin n'a pas dit son dernier mot
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