Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
La Dernière Larme, c'est le titre de la chanson qui, dans le dernier texte de ce recueil, réunit de façon éphémère un sniper et sa cible.
C'est aussi la dernière larme que verse Stefano Benni sur notre société à travers vingt-sept nouvelles tantôt désopilantes, tantôt glaçantes, toujours pleines de fantaisie et d'humour. Qu'il dénonce les maux de l'Italie berlusconienne - voyeurisme médiatique, xénophobie, arrogance de l'extrême-droite - ou qu'il stigmatise des travers humains universels, Stefano Benni pratique l'ironie et le mélange constant du réel et du fantastique, tel un Swift contemporain.
Verve, imagination et invention verbale caractérisent cette chronique lucide de l'horreur en forme d'appel à la résistance face aux monstres de la modernité qui nous menacent.
Vingt-sept nouvelles, plus ou moins longues, de une à vingt pages
La plupart dénonce les outrances de notre société : consommation, télévision…..
Amusantes, grotesques réalistes ou féroces elles reflètent la réalité et l’on sent la lucidité et l’agacement de l’auteur.
Ma préférence va à la troisième, « Un mauvais élève »
Regarder la télévision est une matière, la principale de ce collège. La lecture n’y est enseignée que de façon tout à fait secondaire.
« - Ah, c’est comme ça ? dit la prof. Notre Zeffirini n’a pas pu regarder la télévision parce qu’il a mal aux yeux. Que ne faut-il pas entendre ! Et qu’a fait notre Zeffirini, au lieu d’étudier ?
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