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Le 1er juin 1310, Marguerite Porete, condamnée pour hérésie par le tribunal de l'Inquisition, est brûlée vive en Place de Grève à Paris, avec son livre Le Miroir des âmes simples et anéanties. De cette béguine originaire de Valenciennes, nul ne sait rien, mis à part ce que son livre dévoile de son chemin spirituel et de la vie de son âme.
Fascinée par ce double féminin, Charlotte Jousseaume s'est plongée dans Le Miroir comme dans un miroir, se reflétant dans cette femme de légende qui se nourrissait, non de la paille des églises, mais du grain même de la vie, et qui exprimait, avec ses mots à elle, ce que nous nommons aujourd'hui le lâcher-prise, le lâcher-lemental et l'intelligence-du-coeur.
Dans Et le miroir brûla, elle en dresse librement le portrait conté, empruntant au conte sa poésie et aux étoiles filantes leur trajectoire fulgurante, pour donner à un large public de vivre le mystère et le cheminement d'une Amante qui avait pris la plume pour que chacun entende de l'entendement d'Amour.
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