L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Tout devait rapprocher Alexis Leger/Saint-John Perse et Jean Paulhan ; les amis communs, le goût de l'insolite et jusqu'à un même engouement pour la pétanque. Ni l'exil ni la maladie ni les soucis de tout ordre ne rompirent le lien qui les unissait. Au contraire, il ne fit que croître dans cette longue correspondance. Si derrière les personnages publics, les hommes se laissent pudiquement entrevoir, c'est pourtant la littérature qui est la grande affaire, «Il n'est d'histoire que de l'âme» écrivait Saint-John Perse dans Exil, et ce n'est pas cette correspondance qui pourrait s'inscrire en faux contre cette affirmation car les événements, publics et privés, y sont jugés à l'aune de leur ressentiment sur la vie littéraire.
Il n'y a pas de solution de continuité entre les lettres, la création et la vie. Et c'est «dans l'estime», et «comme un pur commerce de l'âme», que s'établit cette attachante correspondance.
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