Dans la Venise du 16ème siècle, après la destruction d'une partie du palais des Doges...
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Dans la Venise du 16ème siècle, après la destruction d'une partie du palais des Doges...
Dans ce « concours pour le paradis », Clélia Renucci nous entraîne dans un merveilleux voyage dans le temps. Nous revenons dans la Renaissance italienne : en 1577 le Palais des Doges vient de vivre un drame terrible. Un incendie a détruit la salle du Grand Conseil et a endommagé l’ancienne fresque de Guariento de Padoue.
Durant vingt années, de sélection en choix de thématique, de présentation d’ébauche en règlement de concours, de concertation en cahier des charges, la création de cette toile immense représentant la Vierge consacrée par son Fils au Paradis, entourée d’une multitude de saints devint un vrai combat entre Véronèse et Tintoret pour avoir le privilège d’être exposé au-dessus du trône ducal. La romancière décrit avec beaucoup de réalisme et de précision, les raisonnements suivis pour l’élaboration de ce chef d’œuvre. On se retrouve plongé dans la Venise des alcôves, des intrigues machiavéliques et de la menace latente de l’Inquisition.
LIRE Clelia Renucci (parente des élégants chemisiers ?) après avoir discuté avec V. Repetto de la CCI à Nice... j'arrête les images de mode pour me plonger dans la peinture de la Renaissance italienne avec ce 1er roman "concours pour le Paradis" qui mérite bien sa majuscule
VENISE fin du XVIeme siècle :
"Le concours d'une vie, d'une ville" une œuvre considérée trop longtemps comme mineure que l'auteure met en lumière, afin de "regarder le Paradis en face" épilogue-t-elle. Merci c'est très réussi!
Deux artistes peintres "laureats" collaborent à un projet gigantesque : redonner son Paradis au palazzo Ducale détruit par un tragique incendie.
galvanisés par leur talent et ingéniosité, Veronese le maître Véronais et le tout jeune Bassano nous enthousiasment tout au long du récit.
"peindre c'est apprendre à mourir?"
Tintoret le grand rival évincé du concours ne s'avoue pas vaincu et l'intrigue "historique" peut commencer au rythme des gondoles et des peintures que l'on peut admirer dans les musées du monde entier aujourd'hui.
C'est formidable d'assister à l'origine de la création de notre patrimoine, et à la vie de leurs créateurs! Veronese était-il vraiment si roublard?
Dévot ou non on se laisse charmer par cette histoire emprunte d'histoire mais si moderne, avec ses fresques et frasques si actuelles, où l'Inquisition rôde, les tensions avec Rome et les accusations d'hérésie planant au-dessus de toutes les têtes pensantes...
Sous la plume tres agréable, fluide et savante sans être assommante de Clelia Renucci, - à noter un véritable don pour les scènes erotiques et les répliques ironiques-
Certains de ces personnages célèbres sont inspirés voire habités par la Sainte Trinité et les autres par "la société vénitienne dans ce qu'elle a de plus futile, à travers ses richesses, ses accessoires..."
rien ne change vraiment finalement... rivalités, coups bas, dans un monde artistique très fermé...
La série TV des Médicis et autres "Piliers de la Terre" de Ken Follett nous ont initiés déjà -nous avons adoré- vous n'en aurez que plus de détails ici rapportés
Puis La mort s'en mêle
et la seconde partie du livre peut commencer... (suite en commentaire INSTAGRAM EMMANUELLEM06 28 SEPT2020
Venise, 1577, un incendie ravage le Palais des Doges. Le doge décide d'organiser un concours pour trouver l'artiste qui aura l'honneur d'effectuer la réfection de la salle du Grand Conseil, la salle la plus symbolique de la belle Venise.
Cinq des artistes les plus réputés sont appelés à concourir et certains d'entre eux sont prêts à tout pour remporter l'appel d'offres vénitien.
De manigances en coups bas, de plagiat en duperie, la réalisation du Paradis prendra plus de vingt ans.
Les ambitions dévorantes et l'envie de gagner à tout prix font de ce roman une histoire terriblement actuelle qui se lit très bien.
Je dois toutefois reconnaître que n'étant pas une spécialiste de la Renaissance ou de l'Italie tout court, j'ai souvent été perdue dans les références historiques et artistiques.
Cependant, la belle écriture de Clelia Renucci, recherchée et fluide à la fois, ainsi que la modernité de ses personnages, qui sont pourtant de purs produits du 16ème siècle, font de Concours pour le paradis, une très agréable lecture.
Et puis, je n'ai pas boudé mon plaisir de retourner me promener dans les rues de Venise, même en lecture.
Clélia Renucci propose au lecteur de ce roman une immersion dans la Venise du XVIème siècle. Suite à un incendie, la fresque qui décorait la salle du Grand Conseil du palais des Doges est gravement endommagée. Un concours est organisé pour sélectionner l'artiste qui sera chargé de livrer une oeuvre grandiose en remplacement.
Ce premier roman, parfaitement documenté, permet d'aborder l'organisation de la société vénitienne de l'époque, la création artistique mais aussi la vie politique. D'une plume fluide et alerte, l'écrivaine arrive à trousser un roman diablement efficace, vraisemblable et qui garde une certaine cohérence historique.
Compte-tenu des lignes ci-dessus, il est peut-être inutile de la préciser mais je vais quand même le faire, j'ai grandement apprécié cette lecture. Je suis totalement entré dans cette histoire. Il faut dire aussi que j'ai une certaine appétence pour ces sujets et que je ne connaissais pas du tout cette histoire.
Clélia Renucci arrive à mélanger les genres, tantôt roman historique, puis histoire d'amour, intrigues politiques et même parfois un suspens qui relève presque du roman policier. Le lecteur est tenu en haleine tout au long du roman sans sombrer un seul instant dans l'ennui.
Certes, on pourrait toujours reprocher quelques petits défauts comme cette écriture parfois assez froide, clinique, un style assez détaché donc et finalement un peu trop "journalistique". Le format plutôt court de ce roman aussi alors que l'idée de base aurait pu donner lieu à de multiples approfondissements. Il est certain que l'écrivaine a réussi à éviter le piège de la surenchère mais je suis resté un peu sur ma faim. Il était possible d'aller un peu plus loin sur le contexte historique et politique notamment je pense.
Pour autant, malgré ces petits points relevant un peu du chipotage ce livre reste un bon roman qui m'a permis de passer un moment vraiment plaisant tout en apprenant, c'est donc un roman que je recommande. Cette lecture prendra une autre dimension pour les lecteurs s'intéressant un peu à l'art, bien que cela ne soit évidemment pas un prérequis. Il faut également noter que ce roman est le premier de l'écrivaine ce qui laisse entrevoir de belles choses à l'avenir.
J'ai lu ce roman dans le cadre du Prix des Lecteurs du Livre de Poche. Ce prix me permet depuis sept mois de faire de belles découvertes et de lire des romans que je n'aurais peut-être pas lus en temps normal. Et je pense que cela aurait été le cas avec ce roman de Clélia Renucci. Je n’étais pas spécialement attirée par le résumé, bien que j'aime les histoires qui ont des références historiques, ce qui est le cas ici. J'ai été agréablement surprise par ce livre qui m'a beaucoup plu. Il n'est pas épais, un peu plus de deux cents pages, je ne les ai pas vues passer tellement j'ai été prise dans ma lecture.
Je ne vais pas trop revenir sur le contenu, le résumé le fait bien, et ce serait dommage de trop en dévoiler. Je me suis donc retrouvée au XVIème siècle, entre 1577 et 1592, en Italie, à Venise plus précisément. Un terrible incendie ravagé le palais des doges ce 20 décembre 1577. Les dégâts sont énormes, et notamment les peintures des salles. Il ne reste que quelques fragments de l’immense fresque « Le Paradis » présente dans la grande salle du conseil. Cette toile représente le paradis comme on peut se l'imaginer, avec Dieu, Jésus et Marie, accompagnés d'une multitude d'anges. Cette toile est immense, elle mesure 24,5 mètres de long sur 9,90 de haut. Je suis toujours épatée par la taille de ces peintures et surtout j’ai beaucoup de mal à m’imaginer comment l'artiste a fait pour la dessiner et la peindre.
Pour en revenir à l’histoire, le doge va mettre en place un concours pour la réalisation de cette toile. Cinq concurrents vont être désignés pour ainsi réaliser cette peinture. Ils devront chacun réaliser un aperçu de ce qu'ils imaginent. Parmi ces candidats figurent Véronèse et Tintoret, deux artistes peintres qui ont déjà fait leurs preuves dans d'autres réalisations. Véronèse est plus volage que Tintoret, beaucoup plus sérieux et rigoureux dans son travail. Des rivalités vont ainsi se mettre en place, comme on peut se douter, les trahisons vont avoir lieu et parfois venir de la famille proche. Certains iront même jusqu’à s'inspirer de ce qu'a fait le concurrent. Bref, ça n’hésite pas à se tirer dans les pattes et à tout faire pour obtenir le marché. Une fois le peintre désigné, ce n'est pas pour autant que le palais des doges verra sa peinture rénovée. Les années vont passer, par négligence, à cause de la maladie, et il faudra attendre le 7 mai 1592, soit quinze ans après l'incendie, pour que la salle du conseil retrouve un Paradis digne de ce nom.
Bien sûr, je ne vais pas vous révéler qui a gagné le concours, qui l'a finalement peinte, je laisse un peu de suspense et vous laisse le découvrir, et surtout n'allez pas chercher l'info sur internet. C’est beaucoup mieux de l’apprendre soi-même. Moi je suis juste allée voir sur internet la photo de la toile et aussi les autres peintures des peintres cités dans le roman, pour me faire une idée de leur talent, énorme soi-dit en passant. C’est parfois une histoire de famille pour certains peintres. Le père est aidé des fils, des rivalités peuvent ainsi naître dans les fratries. J'ai aussi beaucoup aimé rentrer dans l’intimité des artistes. Certains ont une vie dissolue, préférant s'amuser et le plaisir de la chair plutôt que travailler sur leurs toiles. D'autres connaissent des drames familiaux qui les dévasteront. La vie de cette époque là est bien retranscrite, tout comme les lieux, Venise et ce qui s'y construit. Le carnaval est également fait mention. On assiste aussi au changement des autorités qui bouleversent parfois les travaux de réparation avec des restrictions de budget.
Clélia Renucci a vraiment pensé à tout et a tout bien détaillé. Je n'ose imaginer le boulot de recherche que cela a dû lui demander en amont. Tout est bien détaillé, les toiles, les méthodes de peinture de chacun, les personnages, les peintres, les autorités, les lieux, les caractères, l'ambiance. Je me suis vraiment cru avec eux le temps de ma lecture. Elle a également détaillé la réalisation de l'œuvre en elle-même. Et j'ai trouvé ça très intéressant, ça a répondu à des questions que j'avais, surtout sur la méthode de peinture d'une toile si grande, son transport entre l'endroit où elle a été peinte et le palais des doges, son aménagement à la place qui lui est réservé. Quand on pense au peu de moyen qu'ils avaient à cette époque par rapport à maintenant, je suis toujours assez baba devant de telles réalisations. J'ai la même réaction devant les constructions de monuments. Par contre, ils avaient beaucoup de jugeote et arrivaient toujours à faire, même avec peu de moyens.
La narration a beau être à la troisième personne du singulier, je me suis tout de même attachée à certains des personnages. Ce n'est pas un attachement comme je pourrais avoir dans d'autres romans, mais j'ai ressenti de l’empathie pour des personnages, et ce ne sont pas forcément les principaux. J'ai par exemple beaucoup aimé suivre le fils du Tintoret, Domenico, qui essaie de se démarquer de son frère, qui aide son père, et qui va avoir le cœur brisé. Cet homme m'a beaucoup touchée.
Le style de Clélia Renucci est très bon. Il est d'une fluidité telle que les pages se tournent sans que l'on s'en rende compte. Elle a rendu le sujet tellement passionnant que j'ai lu cette histoire avec beaucoup d’intérêt. Les chapitres ne sont pas très longs et s’enchaînent facilement, j'avais tellement envie de savoir ce qui allait se passer que j'avais beaucoup de mal à quitter ma lecture. Les descriptions sont belles, pleines de poésie et n'apportent aucune lourdeur dans le récit. On sent l’amour des lettres de la part de l'auteure, il y a de nombreuses références à l'art, aux peintures des différents artistes, et c’est ensuite très intéressant de pousser la curiosité à aller voir à quoi elles peuvent bien ressembler. Les mots sont très faciles d’accès, la novice en art que je suis a tout de même réussi à tout comprendre. Je me suis vraiment régalée à la lecture de ce livre, j'ai appris beaucoup sur un pan de l'Histoire que je ne connaissais pas. Et apprendre tout en me divertissant est une chose que je privilégie dans mes lectures. J'aime ce double rôle des livres.
Clélia Renucci signe un premier roman avec ce livre et c’est vraiment une belle réussite. C’est bien écrit, c’est instructif, elle a su rendre son sujet très intéressant. Comme je le disais plus haut, c’est une très bonne surprise pour moi, je ne m’attendais pas à aimer autant. Je vais noter le nom de Clélia Renucci dans ma liste d’auteurs à suivre, j'aimerais beaucoup la relire à nouveau, je vais ainsi être à l’affût d'une prochaine parution, je suis curieuse de connaitre le sujet qu'elle va aborder cette fois ci. Elle a mis la barre très haute avec ce premier roman.
Bien entendu, je ne peux que vous conseiller la lecture de ce livre. J’ai adoré cette lecture, je suis très contente d’avoir ce roman dans ma bibliothèque pour pouvoir le relire ou le prêter. En plus, la couverture est très jolie et représentative du roman. C’est un extrait d'une peinture de Véronèse, Junon versant ses trésors sur Venise. Bien entendu, je suis allée voir cette œuvre dans son intégralité sur le net
Si vous aimez que vos lectures vous enrichissent tout en vous distrayant, ce roman est fait pour vous. Il n'est pas très long, il se laisse lire en un après-midi, tout est bien abordé et il donne surtout envie de se rendre à Venise et de visiter ces magnifiques lieux et voir ses belles œuvres. Je croise les doigts pour le faire un jour.
A Venise en 1577, un immense incendie détruit en partie le Palais des Doges. Les dégâts sont immenses, il faut reconstruire et refaire la grande fresque qui orne le Paradis.
Des conseillers élaborent un programme en cohérence avec les attentes des pouvoirs politiques et religieux. Après plus de six mois des artistes qui pourront concourir sont enfin choisis.
Les plus grands artistes de l’époque Bassano, Palma le Jeune, Zuccaro, Le Tintoret et Véronèse proposent leurs esquisses. Véronèse et Bassano sont sélectionnés.
Mais autant Bassano souhaite réussir, travailler et se faire un nom grâce à ce concours, autant Véronèse ne pense qu’à jouir de la vie. Véronèse et son immense talent, ses exagérations et sa disparition en 1588 avant même d’avoir terminé la moindre ébauche.
Ce sera finalement Le Tintoret qui réalisera l’œuvre magistrale toujours exposée dans la salle du Grand Conseil du palais des Doges. Ou plutôt son fils Domenico qui réalise ce tourbillon de personnages, de couleurs, empli d’un foisonnement de silhouettes et de visages autour de la vierge Marie.
Il faudra plus de quinze ans pour que l’œuvre soit enfin exposée. Querelles, jalousies, haine et amour, trahisons et rivalités, amitiés, décès et disparitions viennent ponctuer cette rocambolesque mise en œuvre, les événements sont multiples et subissent autant les aléas de l’histoire de Venise que ceux des différentes familles de ces maitres de la Renaissance.
J’ai aimé suivre les aventures de ces grands artistes à travers tous les détails que l’auteur a explicités, en particulier sur les techniques, les œuvres, mais aussi sur leurs rivalités, leurs familles et la situation politique et religieuse de l’époque. L’écriture et le rythme à la fois captivants et justes portent haut ce roman particulièrement bien documenté.
Lire ma chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2020/08/17/concours-pour-le-paradis-clelia-renucci/
Curieuse d’histoire, d’histoire de l’art, et d’Italie, ce livre était pour moi ! Clélia Renucci nous plonge dans la Venise de la Renaissance suite à l’incendie du Palais des Doges, et en particulier dans le cadre de la reconstruction de la toile, Le Paradis, pièce maîtresse de la salle du Grand Conseil. Un premier roman trop peu médiatisé à mon goût.
Elle y dresse un portrait haut en couleurs de l’époque, avec ses liens entre les membres du Doge et le clergé, les intrigues entre peintres vénitiens ou non ayant l’appui des Doges ou du clergé, la concurrence bien connue entre Véronèse et le Tintoret, peintres flamboyants ou repliés sur leur art, mais aussi courtisans et autres mondains offrant des soirées fastueuses ….. sans oublier bien sûr les hommes de l’ombre ou petites mains indispensables des artistes qui brillent dans la lumière.
L’art reste le fil conducteur du roman. L’importance ou pas de reconstruire à l’identique une œuvre magistrale par sa taille et les aspects techniques que cela implique, le lieu où elle est exposée, et son symbole religieux, la volonté de rester fidèle à l’original ou d’évoluer vers une œuvre plus laïque, les enjeux politiques des appels d’appels à concours : tout rapprochement avec la remise en état de Notre Dame de Paris serait … naturel
Je viens de terminer ce roman, totalement sous le charme.
Il pleut des cordes, nous sommes rentrés à notre auberge de jeunesse, on papote( en anglais heureusement) autour de nous, on va on vient, on chatouille la guitare, on s'active en cuisine...Rien de tout cela ne m'a gênée, j'étais tellement loin de là ! À Venise précisément dans les années 1577 à 1592, j'assistais médusée et émerveillée à la naissance d'une toile gigantesque appelée Le Paradis, destinée à remplacer celle qui avait brûlé dans l'incendie du Palais des Doges en 1577. Ce premier roman éblouissant, est l'histoire du concours organisé par les conseillers du Doge pour choisir le peintre, celle de la rivalité des maîtres du moment Véronèse et Le Tintoret, celle de la réalisation de cette fresque gigantesque 24,50 mètres sur 9,90 mètres, une prouesse technique exceptionnelle...
La plume de Clelia Renucciest d'une telle puissance évocatoire que vous êtes transportés à Venise, où vous cotoyez peintres, nobles patriciens, conseillers, apprentis et courtisanes, vous entrez dans l'esprit des peintres etc...une immersion incroyable, colorée, puissante et passionnante. Une seule envie à la fin, aller à Venise admirer cette toile dont l'auteure nous dévoile les secrets de fabrication avec une érudition merveilleuse. Un coup de coeur et une auteure à suivre assurément !
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