"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
1981. Le renouveau du pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle en est à ses débuts. Très rares sont les pèlerins, rien ou presque n'est organisé pour eux. Guides, portables, Google, euro et cartes de crédit n'existent pas. L'Espagne sort à peine de dictature. Un autre siècle. Jean Eimer, journaliste, décide d'aller à Saint-Jacques de Compostelle à pied afin de raconter son voyage en feuilleton dans le journal Sud Ouest. Il ne va pas rencontrer grand monde en chemin, si ce n'est Michelle Hoyez, étudiante en médecine dans le nord de la France, partie à l'aventure pour rejoindre Saint-Jacques à bicyclette. Au hasard des pérégrinations ils vont se croiser deux fois. Chacun à sa façon, ils vont le raconter. Lui dans son reportage, elle dans son journal intime. Regards sur une époque où le voyage à Compostelle était si différent de ce qu'il est devenu. Une bonne fée a réuni 43 ans plus tard les deux récits pour en faire un témoignage à deux voix bien distinctes, très complémentaires. Témoignage qui appartient déjà à l'histoire même s'il illustre au plus près ce qu'il y a d'intemporel dans le cheminement vers un ailleurs par essence jamais atteint...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !