A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
Une petite ville dans laquelle deux ans durant, on va une fois par semaine.
Les gens et leurs visages, les paroles qu'on a reçues, et la ville elle-même dans son trou de montagne, la terre, des usines mortes, des maisons sans toit.
Ce qui force à écrire, c'est que les mots qu'on a reçus n'auront peut-être pas d'autre mémoire, et qu'ils vous hantent : un dépôt trop lourd. de ces visages qu'on a connus, l'un a disparu. maintenant, c'est par cette mémoire d'une jeune morte que toute la ville vous apparaît : ce qui se joue ici, dans la petite ville, c'est bien plus qu'un fragment du monde, mais toutes ses tensions rassemblées.
Alors, le livre n'est plus ce " journal " qu'on projetait, mais bien le choc et l'émotion où on a été, à connaître ces visages et recueillir ces mots. et c'est à la fiction d'en organiser les images, au nom de cette mémoire.
Mon premier François Bon lu grâce à ma prof de fac préférée, Anne Roche, qui l'avait mis au programme de licence. Pas déçue du voyage, et des ateliers d'écriture et de ceux qui y participent, avec leurs fêlures ou blessures, peut-être déjà me dire que ça me plairait bien d'essayer. Depuis, je n'ai cessé de lire François Bon sur papier ou sur le Tiers-Livre ou en numérique.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste