Petit budget, petit format… mais grandes émotions littéraires pour les vacances !
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Petit budget, petit format… mais grandes émotions littéraires pour les vacances !
Toute cette saga Blacwater, les six ouvrages, m'ont intéressée au plus haut point, et sitôt un tome fini, je m'empressais de le le suivant dès sa parution.
Un tome où les personnages se révèlent et où les doutes que l'on a sur certains d'entre eux se confirment. Il est toujours intéressant de suivre la famille Caskey et ses différents membres. L'écriture réussit comme toujours à nous absorber et la lecture est toujours un sans faute. On veut qu'une chose, connaitre la suite !
Dans ce tome 3, malgré le fait que l'on retrouve les mêmes ingrédients que dans les deux précédents, la part de surnaturel prend davantage de place.
L'affrontement, les jalousies, les manigances entre Mary-Love et sa belle-fille Elinor perdurent. Jusqu'où cela ira-t-il ?
Entre les sœurs Miriam et Frances, rien ne va plus…
L'atmosphère est de plus en plus pesante, l'ambiance est glauque et la crise financière de 1929 n'arrange rien dans la ville de Perdido. Oscar est de plus en plus, en difficulté financière. Sa mère refuse de l'aider. Va-t-il pouvoir conserver la scierie ?
Les personnages sont de plus en plus surprenants… et surtout, on ne s'ennuie à aucun moment !
Il se passe énormément de choses dans ce tome, avec une fin que je n'attendais pas du tout, ce tome est mon préféré de la saga jusqu'à présent !
L'odeur du fleuve, remplira-t-elle vos narines, comme pour moi ?
Hâte de “plonger” dans le tome suivant…
Très belle saga, intrigante certes mais le suspense n'y est pas. Les personnages manquent d'épaisseur, et nous restons à distance des évènements; impossible de se fondre dans l'histoire.
La digue est construite. Mary-Love, après avoir confirmé ses talents de conspiratrice machiavélique, meurt dans des circonstances un peu étranges, mais ce que l’on a découvert dans les premiers tomes au sujet d’Elinor, rend un peu paranoïaque ! Sister se lasse de son plouc de mari et semble décider à rester dans la maison que sa mère a légué à Miriam, la fille d’Elinor.
Episode riche en rebondissements et en bouleversements, qui voient l’étendue du pouvoir d’Elinor augmenter de façon insidieuse, mais certaine. Le paranormal s’est installé dans la maison d’Elinor, sous la forme d’une présence étrange dans un placard, suffisamment inquiétante pour perturber le psychisme de Frances, la deuxième fille d’Elinor.
Toujours aussi addictif .
256 pages Monsieur Toussaint Louverture 5 mai 2022
J'ai également succombé à la déferlante Blackwater, influencée par tous les posts ultra positifs sur Insta. J'ai adoré cette saga, un vrai coup de cœur, j'ai enchaîné les tomes, tentant parfois de me freiner dans ma lecture mais sans succès. J'ai adoré et pourtant je suis incapable d'expliquer clairement pourquoi... c'est la magie de ce genre de livres. J'ai du mal à me dire qu'il n'y aura pas de suite, je ne suis pas prête à dire au revoir aux Caskey.
Il me faut aussi souligner la beauté des livres, les couvertures sont tout simplement magnifiques.
Une saga dans laquelle on se plonge pour n'en émerger qu'au point final du sixième tome... ou pas.
Je suis toujours autant subjuguée par la beauté des couvertures au style rétro-vintage reprenant l'esthétique des cartes de tarot. Chaque couverture est emplie d'éléments qui sont autant de signes révélant l'intrigue. C'est en refermant la dernière page qu'on en goute toute la pertinence. Cette fois, une maison aux vitres brisées tient la vedette au diapason du titre, des balles d'arme à feu, des têtes de morts, un squelette dans une drôle de position, entre autres ... le jeu de pistes peut démarrer, sur fond de Grande Dépression de 1929, l'auteur gérant parfaitement le temps qui passe.
Cet opus confirme à quel point cette saga-feuilleton m'a ferrée. C'est avec un plaisir proche de la jubilation que j'ai retrouvé tous les ingrédients appréciés dans les deux tomes précédents à commencer par ses personnages marquants. Ici entrent réellement en scène les deux soeurs opposées polaires, Frances et Miriam, éduquées en rivales chacune dans une maison différente. Evidement, les manigances et affrontements entre la matriarche Mary-Love et sa toujours aussi énigmatique belle-fille Elinor restent au coeur du récit. Leur duel au sommet voit ses cartes rebattues par une résolution très inattendue. Elinor est vraiment un formidable personnage, d'autant plus que, si on commence à mesurer ses nature et puissance, on est encore très loin de cerner ses motivations profondes.
Mais ce que je préfère le plus dans ces Blackwater, ce sont leurs touches fantastiques et horrifiques, subtilement dosées, suffisamment rares pour être attendues et guettées. Et là, elles sont exceptionnelles marquantes, parvenant même à se renouveler entre une mort explicitement une des plus terribles rencontrées en littérature et une penderie qui émane une lumière surnaturelle après avoir terrifié le petite Frances …
« Et voilà qu'elle était face à la porte de la pièce tant redoutée, sans avoir pris conscience que ses pas l'y avaient mené. Doucement, elle tourna la poignée et jeta un oeil à l'intérieur. Comme à son habitude, la chambre était sombre et fraîche. L'air paraissait stagner. Ça sentait le vieux – plus que dans aucune autre maison de Perdido. Pour la petite fille, ça sentait comme si des générations entières de Caskey étaient mortes là-dedans. Comme si, décennie après décennie, des femmes Caskey avaient accouché d'enfants mort-nés dans ce lit ; qu'une lignée ininterrompue de maris Caskey avaient assassiné leurs épouse adultères et les avaient cachées dans l'armoire ; comme si cent squelettes à la chair en putréfaction et aux haillons moisis avaient été entassés dans la petite penderie et s'entrechoquaient, parmi les plumes et les fourrures. Pour la première fois, elle remarqua que la pendule sur le manteau de la cheminée avait été remontée, égrenant son lugubre tic-tac. Elle s'apprêtait à refermer la porte lorsque la pendule sonna le quart d'heure, tel un appel. »
On sent tellement que Michael McDowell s'amuse qu'il nous entraine dans le jeu avec délectation. A suivre ...
Je suis accro à la saga des Caskey, un vrai page turner pour moi. Je me régale littéralement avec cette histoire de famille à laquelle se mêle en plus un petit côté surnaturel.
J’ai donc enfourné les 3 tomes sur 3 jours et je suis triste de devoir maintenant attendre la sortie du 4ème vu que j’ai rattrapé les dates de parution… On est le 15 mai, sortie du tome suivant le 19… plus que 4 jours…
On avance dans l’histoire, 6 ans se sont écoulés depuis la construction de la digue, nous sommes en 1928 année du crack boursier, et l’accent est davantage mis sur les enfants, notamment Grâce, Frances, Miriam. Les 2 sœurs n’ont rien en commun en termes de caractère qui reflète l’éducation de ceux qui les ont élevées.
Frances est douce, gentille et appréciée de tous alors que Miriam élevée par sa grand-mère Mary-Love est à son image, une teigne !
Ce tome commence à nous laisser entrevoir que Frances, tout comme sa mère Elinor a certaines… « dispositions »…
Mary-Love est de plus en plus détestable et va commettre une erreur impardonnable aux yeux de son fils Oscar.
Quant à Elinor, elle est terriblement attachante malgré ce que l’on sait d’elle et surtout les actes qu’elle a commis…
Vivement le tome suivant !
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