Le titre et le résumé de la 4e de couverture m'ont donné envie : inventif, un peu aussi en résonance avec "Et si c'était vrai ?" de Marc Lévy, je me suis dis que cela devait être léger.
C'est surtout bâclé : dessin, développement du scénario et dialogues.
La mangaka aborde à la va-vite le rapport physique et le désir, passe par un peu de harcèlement scolaire et de pauvre petite orpheline auquel je n'ai pas adhéré. le fantôme est la seule bonne trouvaille rigolote.
Erika mange des chips pendant 2 mois mais ne prend pas un kilo ni un bouton sur le nez, et 100 pages plus loin, ah ben non finalement elle ne mangeait que du riz blanc, un peu de soupe miso et des radis. Elle est sensée avoir des tâches de rousseurs mais je les cherche encore (et pourquoi des tâches de rousseurs ??? C'est hyper rare au Japon).
Les hommes sont tous des obsédés sexuels.
Et la morale amenée comme un cheveu sur la soupe sans subtilité car soit on en est déjà convaincu soit on a un complexe : on est libre de faire ce que l'on veut avec son corps (apparence et cul inclus).
L'ensemble est vraiment décevant.
Le Spectre de ton désir
Le Spectre de ton désir
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