Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
«Demain, j’aurais dû avoir soixante-cinq ans.»
A l’occasion de l’anniversaire de sa mort, Gérard Legrand va revivre une deuxième fois. Comme une deuxième vie.
C’est caustique, dérangeant, rongé d’humour noir et j’aime ça.
Les livres drôles sont rares. Il faut en profiter.
L'écriture de Jan Ottten coule comme du miel. Comme du fiel.
Un regard outré, outrageant, d’outre-tombe sur une vie de famille avec couple et enfants. Et maîtresse qui va avec.
Sans gants l'auteur nous invite à la question qui fait mouche. Qui touche là où ça fait mal.
Que reste-t-il de soi chez les autres une fois l'existence consommée ?
Très cruel mais revigorant !
«J’existe car on se souvient de moi.»
AVIS DE LA PAGE 50
Ce livre est surprenant, avec un point de vue des plus original. Mais parfois l'originalité empiète sur la bonne compréhension. Je suis un peu confuse en lisant ce livre, et à cause de cela, j'ai du mal à sympathiser avec Gerard Legrand, le personnage principal. Le langage du roman est cependant, très fin, très beau et mélodieux. Pour l'instant une lecture agréable mais une entrée en matière un peu difficile ...
CHRITIQUE DE LA PAGE 100 (enfin 50)...
Bonjour,pour l'instant une lecture agréable et surprenante, Un livre que je n'aurais pas choisi de moi-même, mais une bonne surprise, qui se lit vite grâce à ces chapitres courts, l'écriture fluide et le sujet passionnant. Je pense le finir rapidement.
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